Science - à peine de - fiction
Datte: 28/03/2018,
Catégories:
fhh,
ffh,
couple,
cadeau,
boitenuit,
danser,
Oral
fsodo,
hdanus,
hgode,
sf,
... Rosebud, dis-je.— Comment ? dit Inès.— C’est un rosebud. On utilisait ce bijou pour l’anus. Regarde. Et j’en sors d’autres de la boîte ; il y a plusieurs tailles. Elle ne répond pas mais les manipule. Petit à petit, tous les objets sont sur la table. Mon oreillette m’indique des nombres qui bougent. Pour Inès comme pour Swana. Ma surprise les intéresse. Souvenirs d’une autre époque, et donc antiquités ? Ou bien objets sexuels qu’elles commencent à imaginer ? Elles se décontractent. Swana sursaute lorsqu’elle déclenche une vibration. J’ai veillé à trouver des batteries en remplacement des anciennes. Maintenant elles rient, chacune cherchant un bouton et un curseur. Je vais m’asseoir, expérimentateur, comme mon père. Je change le canal de mon oreillette. « Inès » puis « Swana ». « Inès ». « Swana »… Des gamines qui jouent. Swana simule une fellation, pousse le gode vers les lèvres d’Inès. Elle suce. De son côté, elle se fixe un gode ceinture à la taille et pousse des reins comme si elle possédait son amie. Elles chahutent. Tout change lorsque, par un mouvement non souhaité, leurs lèvres se touchent. Le signal d’Inès fait un bond. Nul doute que Swana l’a entendu dans son oreille. D’ailleurs, le sien n’est pas mal non plus. En une fraction de seconde, chacune comprend que l’autre apprécie ce contact. Pourtant, surprises, elles se séparent. Mais d’un regard elles comprennent que tout est dit. Leurs visages se rapprochent, comme irrésistiblement attirés. Les lèvres ne font d’abord ...
... que s’effleurer, mais bien vite elles s’entrouvrent et les langues se rencontrent. Les corps aussi se touchent, les mains se posent sur la nuque, sur les épaules et le baiser se transforme en une bataille amoureuse. Swana semble prendre l’ascendant et enveloppe ma femme d’une étreinte fougueuse. Au baiser succèdent d’autres baisers, et maintenant les femmes se caressent. Inès, appuyée contre la table, semble une proie offerte que Swana dévore doucement. Chaque centimètre de peau, libéré par le dégrafage des boutons de sa robe, est l’objet de son attention. Bientôt, les sous-vêtements tombent aussi, laissant Inès offerte, son corps d’un blanc laiteux, magnifiquement cambré pour sa partenaire. Quelques secondes et Swana aussi apparaît dans le plus simple appareil. Elle vient se coller à sa maîtresse, peau noire sur peau blanche, pour lui voler un baiser avant que sa bouche descende lentement pour happer un téton alors que ses mains flattent les hanches. Jaloux, je suis jaloux de ces nombres que jamais Inès ne m’a offerts, malgré mes efforts et mes caresses. Pour Swana, tout paraît facile. Ainsi, Inès est lesbienne. Le doute n’est pas possible. Le savait-elle et préférait-elle le cacher ? Je comprends maintenant son peu de goût pour le sexe avec moi. Les gémissements ne sont pas feints. La jouissance est là. Il aura suffi de quelques caresses de la bouche de Swana entre les cuisses de ma femme pour que son plaisir arrive. Elles tombent à terre. C’est une bataille, seins contre ...