Une séparation brutale (7)
Datte: 28/03/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... cinq minutes, j'entendais l'eau finir de couler, et ma mère se sécher. Je l'entendis se mettre du parfum. Puis la porte s'ouvrit. Elle sortit en chemise de nuit blanche très transparente, sous laquelle elle portait de la lingerie blanche très fine et transparente également. Je voyais distinctement les poils de sa chatte, alors qu'elle portait deux épaisseurs de tissu. - J'ai acheté ça aussi, ça te plait ? - Je suis fatigué maman.Ma mère vint vers moi, pleine d'entrain. Elle retira sa chemise de nuit, et fit glisser son soutien gorge sous ses seins. Elle attrappa mon sexe dans sa main et se mit à me branler doucement. - Maman... demain... je suis fatigué... - Tu es sur ? j'ai acheté cette lingerie pour toi. Prends moi si tu veux... Je vois que quelque chose ne va pas. - Laisse moi dormir.Je me tournais sur le coté. Ma mère se coucha également. Je crois qu'elle me parla un peu, mais je m'endormis entretemps. C'est vrai que j'étais fatigué.Le lendemain, je partis de bonne heure, bien avant le réveil de ma mère, et comme la veille, je décidais de ne pas rentrer à midi. Je terminais toutefois à 18h, afin d'être là pour accueillir Beatrice et Emile. Ils arrivèrent vers 19h30, tous les deux bien habillés. Ma mère s'était habillée et maquillée de façon assez sophistiquée, avait mis une robe noire, des bijoux, s'était maquillée comme elle le faisait quand elle vivait avec mon père. La bouteille de champagne était ouverte dans un seau de glace. Des bougies parfumées étaient allumées ...
... sur la table du salon. Le couple me calcula à peine, parlant tous deux à ma mère de la séparation, que mon père était malheureux, qu'il fallait sauver leur couple. En deux minutes, j'avais déjà envi de les foutre à la porte. Mais je fis des efforts. Je décidais d'aider ma mère à faire le service. Après l'aperitif, elle me dit en apparté : "je ne sais pas si c'était une bonne idée de les inviter".Je répondis qu'elle avait fait trop d'efforts pour rien, qu'ils avaient l'habitude d'être reçus en grande pompe, qu'ils ne se rendaient compte de rien. Béatrice était tellement superficielle, c'était à se taper la tête contre les murs. Et Emile passait son temps à se servir du champagne et hocher bêtement de la tête, sortant de temps en temps une blague pas toujours de très bon gout.Quand ils partirent, vers minuit, ils répèterent encore à ma mère de reflechir, d'appeller mon père. Bref, ma mère se prit la tête dans les mains après avoir fermé la porte, et souffla une bonne fois pour toute. - Dire que je les trouvais interressants, fit ma mère. - Tu as traversé des situations qu'ils ne connaissent pas, tu as changé, et eux non. - Beatrice, elle a été tellement décevante. - La bourgeoise idiote... Mais elle a des gros seins...Ma mère me regarda d'un air moqueur. - Quand j'étais plus jeune je me branlais en pensant à elle. - Ah oui ? fit ma mère. - Je me rappelle quand elle était en maillot de bain, à la maison au bord de la piscine, ou quand on allait à la plage avec elle. Tu l'as dejà ...