Deux surprises sinon rien
Datte: 14/07/2017,
Catégories:
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Depuis mon plus jeune âge, ma famille passe toutes les vacances à Deauville, avec Marie, une amie de mes parents, et avec sa fille Cécile. Quelques années auparavant, cette amie, était tombée enceinte alors qu’elle n’avait guère plus de dix-huit ans. Elle avait épousé aussitôt le père, un homme de vingt ans plus âgé qu’elle. Veuve un an après la naissance du bébé, elle ne s’était pas remariée. A l’époque de Deauville, Marie était déjà assez boulotte. Elle s’habillait de couleurs sombres, ses robes, toujours amples, couvraient jambes et mollets, ses bras étaient rarement nus. Sa tenue était dépourvue de toute fantaisie et même sur la plage, son maillot une pièce était triste. Elle paraissait sans âge. Marie, qui ne fréquentait personne, faisait quasiment partie de la famille. Jamais nous ne l’avons vue avec une amie et encore moins avec un ami. Pour nous, les enfants, Marie n’était plus une jeune femme, c’était une veuve. C’est à dire une vieille femme qui n’a plus d’homme. Nous n’avions aucune notion de son âge réel. Pas trente ans, en tout cas… ! Pendant mes années d’enfance, l’image que j’avais d’elle n’a pas beaucoup évolué. Quelques années plus tard, à l’adolescence, alors que n’importe quel adulte l’aurait certainement regardée comme une jeune femme, je la voyais toujours comme je l’avais cataloguée tout gamin : c’est à dire comme une femme qui n’avait plus d’homme ni de désir, une veuve, sans âge. Et comme elle s’était encore un peu empâtée, sa silhouette ne m’a pas ...
... aidé à modifier mon jugement vis à vis d’elle. Au fil des années, l’amitié entre Cécile et moi s’est transformée en amour, et, dès la fin de mes études, nous nous sommes mariés. J’ai maintenant vingt cinq ans et ma femme à peine vingt. Chaque jour, et surtout chaque nuit, je me dis que je suis le plus heureux des hommes. Ma belle-mère nous a laissé son appartement à Compiègne, au-dessus du magasin d’antiquités, et elle s’est installée dans la capitale. J’ai bien fini par me rendre compte que Marie n’est pas si vieille que ça et que son manque total de coquetterie la dessert beaucoup. C’est une femme assez petite, maintenant très boulotte. Forte, mais pas laide. Ce qui arrête d’abord le regard, c’est sa poitrine. Agressive je dirai, car elle soutient ce qu’elle avance, ma belle-mère. Chaque fois que mon œil s’y perd, j’admire le travail du soutif et je repense à la formule du regretté Léon Zitrone : « des seins de taille suffisante pour remplir la main d’un honnête homme ». Une belle main, l’honnête homme. Le ventre est certes très rond, mais il semble encore ferme. Rien de ces tas graisseux qu’on sent prêt à dégouliner. Les jambes proportionnées au reste du corps, donc un peu trop épaisses, surtout les cuisses mais on sent, là aussi, plus de muscle que de graisse. D’ailleurs, les cuisses, on ne les voit quasiment jamais car elle porte toujours des vêtements amples et très longs. Son visage n’est pas assorti au reste du corps. Il est tout en ovale, avec des traits très fins qui ...