Mon Beau-fils
Datte: 29/03/2018,
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Dans la zone rouge,
... folle qu’il me baise !... De ma main gauche, prenant appui sur son épaule, je me soulève et enlaçant une de mes jambes autour de la sienne, je porte le bout de son braquemart entre les lèvres de mon con très ouvert. Le gland est fort, large et robuste. Je me le passe sur le haut de la fente et m’en branle le bouton un instant. Je commence à ahaner et à lui donner du : "chéri " ; du : "là…, comme ça, c’est bon…, passe le moi bien dans la fente… ". Je suis chamboulée d’amour et de désir… Mes seins sont maintenant à hauteur de ses lèvres, il les embrasse, les suce, les mordille, fait jouer la pointe des tétons sur sa langue et moi je mouille comme une folle. Je ne sais plus qui je suis, où je suis, ce que je fais, avec qui, je suis à mon plaisir. Toute à mon plaisir. Je lui susurre à l’oreille : - "Mon chéri, mon grand chéri… J’en avais tant envie ?!... Là, branle-moi bien, comme ça, c’est bon… Chéri, tu vas me prendre maintenant, je t’en supplie juste une fois, une seule fois, c’est promis… Mais baise-moi s’il te plaît… J’en peux plus… il le faut… " Et là, il m’aide à enfoncer son membre hyper bandé dans le fond de mon trou de femme. Sa jeune bite y entre avec une telle facilité ; je l’y accueille avec une telle délectation !… Il va et vient doucement puis se met à accélérer vivement. Trop vite à mon goût. (Photo 2). - "Chéri, doucement… Fais doucement…, ne va trop vite que je te sente bien… reste un peu…, ne vient pas trop vite… " Il pousse doucement, bien à fond. C’est ...
... profond et c’est bon… Dieu que c’est bon ! Il me pénètre bien. Il est gros. Il me remplit. Au point que je n’avais plus le souvenir d’être ainsi baisée bien à fond par une jeune bite, grosse et vigoureuse à la fois… D’ailleurs à y réfléchir je n’ai jamais été prise par un beau membre de 20 ans. Un seul copain de mon âge m’a baisée alors que j’avais 18 ans, mais fort mal et avec un sexe dont on ne parlera pas… Je suis au septième ciel, mais je ne veux pas qu’il décharge en moi… Non, surtout pas ! Encore deux allers-retours ; trois au plus et, prenant appui sur ses épaules, je me soulève et me désenconne de la verge dressée… Je me laisse glisser sur la terre battue de l’entrée de la grange, l’entraînant avec moi sur le sol… Je me retourne prestement le chevauchant en soixante-neuf ; je prends en bouche son gros membre encore mouillé et glissant et de mes sécrétions secrètes… (Photo 3). Oh, oui que c’est bon cette jeune virilité qui me remplit la bouche après le con !… Je me pâme d’aise et de jouissance. Habillement, il a remplacé sa bite par 3 doigts qui me pénètrent très en profondeur et me branlent le point G… Je sens des flots de cyprine qui me giclent du con et inondent sa main puis son torse… La pression de la bite augmente dans ma bouche. La verge merveilleuse enfle encore et brusquement, avec de multiples soubresauts, elle éclate sur ma langue, m’inonde le palais d’une saveur chaude et salée… Je reçois sa jeune décharge avec une suprême satisfaction, qui marque un complet ...