Une terrible aventure
Datte: 30/03/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Première fois
... immobile, subissant son regard évaluateur, le rouge au joues. Puis, après un moment qui me parût interminable, j'entendis pour la première fois sa voix, empreinte d'une extrême courtoisie :- Tournez-vous, je vous prie. que je voie votre dos.Lentement, tétanisée par l'étrangeté de la situation, je me tournais de façon à lui présenter le côté postérieur de mon anatomie. Il ajouta :- Otez votre veste. elle cache ce que je veux voir.Tremblant plus que jamais, j'ôtais ma veste et regardant autour de moi je cherchais ou la poser. Il devina ma préoccupation et dit tranquillement :- Posez la sur le tapis. à côté de vous. et remettez vous dos à moi. en vous tenant bien droite.Le silence qui suivit fût un interminable calvaire, je sentais son regard qui devait jauger ma chute de reins, la rondeur de mes fesses. J'avais l'impression de sentir physiquement son regard sur mon corps, comme s'il me touchait. Puis, sa voix retentit à nouveau :- La marque de votre culotte est parfaitement visible pour un œil exercé. jolie forme qui dévoile sans doute bien les fesses.. mais dont la marque sur la jupe est assez disgracieuse. Une prochaine fois. essayez de sortir nue sous votre jupe. vous en tirerez peut-être une agréable sensation. en tout cas. votre mari. ou celui qui sera avec vous, aimera sûrement.J'avais envie de lui hurler que seul mon mari avait le droit de me toucher, mais je n'eus pas le temps. D'une voix calme, il dit :- Otez votre chemisier, je vous prie.Toujours de dos par rapport ...
... à lui, je crus défaillir en entendant ces mots. Je restais tétanisée. Le silence avait envahit la pièce. Je poussais un profond soupir, et maladroitement je me mis à défaire les boutons des manches de mon chemisier, puis je dus m'y reprendre à plusieurs fois pour défaire le premier bouton tant mes mains tremblaient. Ma vue se brouillait, j'étais prise de vertige mais je défis enfin le dernier bouton. Je sursautais et je poussais un petit cri quand je sentis deux mains se poser sur le col de mon chemisier. Dans mon désarroi, je ne l'avais pas entendu se lever et se placer derrière moi.Il fît glisser le chemisier sur mes épaules et le fît glisser, le posant près de ma veste. Il caressa de la paume la rondeur de mes épaules avant d'effleurer mes omoplates. Son majeur se posa à la base de ma nuque, juste sous le carré de mes cheveux et descendit le long de ma colonne vertébrale, jusqu'à la ceinture de ma jupe. Je m'étais raidie sous le contact et je tremblais à présent comme une feuille. Sa voix brisa à nouveau le silence :- Tournez-vous, je vous prie.Toujours ce ton suave, cette courtoisie ferme. Je me tournais en fermant les yeux, prête à défaillir. Je sentis un de ses doigts se glisser entre la lisière du bonnet et la chair de mon sein gauche, tout près de mon bras qui restait ballant le long du corps.Le doigt progressa lentement vers le fond du bonnet puis progressa vers le centre de mon buste. Son geste eût pour effet de soulever mon sein et de le faire passer au dessus du ...