Une terrible aventure
Datte: 30/03/2018,
Catégories:
Anal
Hardcore,
Première fois
... Au bout de quelques minutes de ce traitement, la douleur s'estompa, et littéralement horrifiée, je me suis rendue compte que mon vagin s'était lubrifié, comme si mon corps acceptait ce que tout mon esprit refusait avec la dernière énergie. Abattue, je posais ma tête contre le dossier du fauteuil, entre mes bras. Tout en me baisant, il disait que je n'étais qu'une putain prête à faire n'importe quoi pour son mari. Il avait en partie raison. J'en pleurais de honte, subissant avec des tressaillements de tout mon corps les coups qu'il assénait à mes muqueuses vaginales, essayant de maintenir mon équilibre en m'agrippant au dossier du fauteuil. .Il malmena mon vagin pendant un interminable moment. Il me tenait par la taille. La finesse de celle-ci est telle que ses doigts en faisaient presque le tour. Parfois une main s'égarait le long de ma hanche, en soulignant la courbe, puis revenait sur le globe fessier qu'elle enveloppait, palpant la texture ferme de la chair avec brutalité. Ses doigts progressèrent soudain vers le centre de mes fesses, s'insinuant dans la raie serrée qui séparaient mes deux globes fessiers. Son majeur suivait le fond du sillon velouté. Je tressaillis quand je sentis le doigt toucher mon oeillet anal. Il appuya sur les contours de l'anus, comme pour en éprouver l'élasticité. Je tentais de me dégager, mais me plaquant d'une main contre le dossier du fauteuil, son sexe profondément fiché dans mon vagin, Il m'immobilisa. Il préleva un peu de cyprine à ...
... l'entrée de mon sexe et la déposa consciencieusement sur l'anneau serré. Je le suppliais en sanglotant. Ignorant ma détresse, il appuya l'extrémité de son index contre le muscle. Le fragile orifice céda, et je sentis la première puis la deuxième phalange investir mon intimité la plus secrète. Il bougeait son doigt dans mon anus en écartant le plus possible le sphincter pour l'assouplir. J'avais très mal, je gémissais, sanglotais, inerte. Il comprît alors que j'étais vierge de ce côté là et que je n'avais jamais pratiqué la sodomie avec mon mari. Son doigt palpait la paroi de ma gaine anale. Il murmura :- Je vais forcer vos reins. votre souffrance et l'offrande de votre virginité anale vont m'obliger à signer avec votre infortuné mari. Je lui dois bien cette compensation. Vous allez être délicieuse. J'en suis sûr.Ignorant mes sanglots de désespoir et mes dénégations véhémentes, secouant la tête en tous sens. mes cheveux collés par la sueur s'emmêlaient devant mes yeux, il caressait ma croupe d'une main enveloppante et évaluatrice. Il dégagea son sexe de mon vagin et j'ai senti le gland brûlant se glisser dans le sillon de mes fesses. Il posa le gland contre mon oeillet anal. Il le guidait d'une main et poussait inexorablement. Je sentis, horrifiée, le souffle coupé, le sphincter jouer et s'ouvrir pour laisser le gland écarter l'anneau pour entamer sa progression. Je sentais le gland progresser le long de l'œillet, millimètre par millimètre, forçant inexorablement mon anus. Je ne ...