Emilie et Léa (Fin) - Pas une pour rattraper l'autre
Datte: 31/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Dernier volet du récit de la découverte de la fessée par Emilie et Léa. Je me leva le matin vers 9h30, suivi peu après par Emilie, après un petit déjeuner rapidement expédié, je la mis au coin et la déculotta, elle tressaillit. En effet elle avait reçu en l'espace de 72 heures plusieurs corrections qui lui avaient fait pleurer toutes les larmes de son corps. Je me contenta de la déculotter, ses fesses d'un rose assez prononcé étaient très attirantes et résister à l'envie de les réchauffer n'était vraiment pas chose facile. Je finis de laver la vaisselle et je la rhabilla. Elle me dit alors qu'elle avait mal au poignet, surpris, elle me montra qu'elle avait des difficultés à le bouger. Moi qui pensait qu'elle s'était foutue de moi encore une fois, je me sentais alors bien con. Quelques heures plus tard, mes randonneurs rentrèrent, et la père des filles s'occupa d'Emilie. Nos mères et Léa me montrèrent les photos, j'étais littéralement subjugué et intérieurement déçu car même si je m'étais éclaté avec Emilie, j'avais espéré pouvoir aller crapahuter dans les forêts pyrénéennes. Léa dut se rendre compte de quelque chose car elle annonça lors du diner que si je le voulais, nous pouvions partir le lendemain et passer la journée sur les sentiers. J'accepta alors bien volontiers une si aimable proposition, en effet, le lendemain, Emilie allait passer une radio avec son père et nos mères souhaitait papoter entre filles, alors c'était une magnifique aubaine. Le lendemain, Léa et moi ...
... partîmes au lever du soleil vers les sommets. Au bout de deux heures de marche, nous empruntâmes un sentier qui coupait au travers des bois, j'étais étonné mais je suivis la guide. Après quelques kilomètres, je découvris une petite clairière dans laquelle se dressait un affût, Léa grimpa à l'échelle et ouvrit la trappe avant de s'y engouffrer, je découvris alors un magnifique panorama. Elle me proposa de pique-niquer sur place et de profiter de la vue, ce que j'approuva. Je redescendis récupérer les sacs que nous avions laissé en bas, je remonta alors le mien et lui passa, au moment d'attraper le sien, la sangle lâcha et le sac s'ouvrit, je le pris et aperçut à l’intérieur la spatule qui avait tant fait souffrir le petit cul d’Emilie. Seulement à moitié étonné, je referma le sac et le remonta. Le repas se passa et la miss ne laissa rien transparaître. A un moment, elle se leva et se pencha pour observer le point de vue, j’en profita, je pris la spatule et m’approcha d’elle, arrivée à sa hauteur je lui mis un coup sur les fesses, elle sursauta et se retourna, je lui dis alors en désignant la spatule : - Tu comptais faire la cuisine ? Elle rougit et me dit qu’elle voudrait que je la cuisine comme j’ai cuisiné sa sœur durant ces derniers jours. Sans plus de cérémonie, je la fis se pencher au-dessus de la balustrade et commença doucement à lui appliquer la spatule sur le pantalon, je la vis onduler délicieusement, Après ce départ en douceur, son pantalon arriva à hauteur de ses ...