Mon dépucelage
Datte: 31/03/2018,
Catégories:
Anal
Gay
Mon dépucelageC'était l'été, et comme tous les ans mon oncle Claude, âgé de 25 ans seulement était venu passer des vacances chez nous. Il aimait d'autant plus venir chez nous, qu'il s'occupait activement de ma mère depuis le décès de mon père. Cela ne me gênait en aucune façon. A chaque fois qu'il était là, elle débordait de joie, et cela me plaisait.L'année précédente mon oncle m'avait initié à certains plaisirs masculins. Nous nous étions masturbés mutuellement, puis j'avais découvert le plaisir de la fellation. L'initiative était venue de lui, j'avais adoré cette caresse, surtout qu'il l'avait menée jusqu'au bout. Ravi de cette expérience, je m'étais empressé de lui offrir le même plaisir. Les derniers jours avant son départ, il avait apporté un gode de bonne taille. C'était la première fois que j'en voyais un en vrai, après avoir humidifié son anus, il y avait enfoncé petit à petit l'engin. Je n'en revenais pas. Pendant plusieurs minutes il effectua des va et vient, variant la vitesse et la profondeur de son enculage. A ma grande surprise, sans qu'il ait touché son sexe, un flot de sperme en jaillit, et se répandit sur son bas ventre. Comme j'avais déjà goûté à son foutre, je me mis à le lécher, avant de sucer sa queue encore poisseuse. Un peu effrayé par la grosseur de l'engin, je n'avais pas voulu essayer.Avant de nous quitter à la fin des vacances, il me l'avait discrètement laissé en guise de cadeau.En attendant les vacances de l'année suivante, je m’étais ...
... laborieusement acharné à dilater mon petit trou. A force de persévérance, deux mois plus tard j'arrivais enfin à l'insérer dans mes reins, si bien que j'étais prêt à recevoir enfin un vrai sexe. Aujourd’hui mon oncle étant enfin de retour, il ne me restait plus qu'à sauter le pas.En ce début d'après-midi, comme à l'accoutumée, ma mère était à son travail, et mon oncle se faisait une petite sieste. Je préparai soigneusement mon petit trou, puis me rendis jusqu'à la chambre. Claude était sur le dos et par cette chaleur, son corps était nu. Je m'approchai sans bruit du lit. Son sexe reposait mollement sur sa cuisse, le gland légèrement découvert. A genoux près du lit, j'approchai ma tête du sexe, puis je le happais avec délicatesse, et me mis à le sucer. Quel régal ! Cela faisait un an que je n'avais plus pratiqué de fellation. Mon oncle continuait à dormir, mais au fur et à mesure de mes caresses, sa queue se tendait petit à petit. Au bout de quelques minutes sa tige se redressa fièrement, toute luisante de ma salive. Je contemplai mon œuvre, puis je mouillai mon anus, tout en y insérant mes doigts. Après quelques allers-retours entre ma rondelle et ma bouche j'étais enfin prêt. J'enjambai le corps de Claude, puis je m'accroupis au dessus de la verge dressée. Je l'empoignai et la guidai vers mes reins. Abaissant ma croupe jusqu’à sentir le gland buter, puis avec précaution je forçais doucement. Mon œillet résista un peu, puis s'épanouit et se laissa pénétrer. Mes nombreux godages ...