1. Inceste ? Pas inceste ?


    Datte: 31/03/2018, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... graves. Afin de ne pas me jeter, cuisses ouvertes, sur le mât dressé au-dessus de son ventre, afin de repousser la tentation de copuler enfin, je me suis arrachée à ce baiser et j’ai posé mes lèvres sur son gland. -Oh ! Oui, vas-y, lèche. Je lèche la verge gonflée, je suis du bout de la langue ces grosses veines apparentes, noueuses, je remonte la colonne jusqu’au prépuce rabattu, je passe au gland découvert, j’y dépose un bisou, je redescends lécher le scrotum, je taquine les deux couilles, les prends successivement en bouche pour les sucer , puis je repars à l’assaut de la bite et je transforme mes lèvres en couronne sur le nœud. A la remontée suivante je zigzague sur le tronc et enfin j’accueille au chaud la tête du nœud toute entière. - Oh ! Tu es formidable ! Plus profond. Oh! Ta bouche. - Comme ça? - Ne bouge plus, je suis si bien sur ta langue. Pendant que ma bouche fait l’ascenseur le long de la queue du père de mon mari, le brave homme jubile, tend le bras, trouve mes fesses, repousse ma culotte sur une fesse, palpe mes rondeurs et sa main cherche mes parties intimes, ses doigts suivent le sillon, gratouillent mon anus, sautent le périnée et explorent les abords de ma vulve. - Lucie, fais un quart de tour, viens , passe une jambe par-dessus ma tête, laisse-moi voir ton joli cul et ton con si mignon. Garde-moi, suce Mon récit est embrouillé, ce n’est pas étonnant,je suis en train de perdre la tête. La phrase est interrompue par le vibrato de mon smart phone. Gérard ...
    ... s’immobilise. Je me relève, saute du lit, je découvre avec fièvre le message de Doris. - Alors, que dit ton espionne. Il l’a fait ? C’est sûr ? Elle les a vus ? - Ils sont entrés dans la maison et y sont restés trois heures. Pas pour enfiler des perles ! - C’est mon digne fils… Oh ! Pardon. C’est avec toi qu’il devrait… Le petit con. Heureusement, je suis là pour réparer son erreur. Viens, rejoins-moi., viens bercer ton chagrin dans mes bras. Je ne ressens plus de chagrin. Je me suis préparée à l’horrible nouvelle. Mon mari…le salaud, il l’a fait, il m’a trompée, il a couché avec sa rouquine. C’est de la rage qui me submerge. Mon cœur crie vengeance, mon corps se tord de douleur, de frustration. J’en veux à Alain, j’en veux à son père qui a facilité l’événement. J’en veux au mien qui m’a favorisée pour cette mission, j’en veux au monde entier. Il faut que je fasse quelque chose, que je casse quelque chose, que je frappe, que…Et soudain, je craque. Sans réfléchir, je saute sur le lit, je plante un pied de chaque côté des hanches du sexagénaire nu, au vit tendu vers le plafond. Mes genoux plient, mes fesses touchent la chair chaude que j’attrape d’une main, que je dirige vers ma fente et je m’empale brutalement sur ce moyeu. Le gros machin de mon beau-père est enfoui dans mon vagin, cette fois. Finie la rigolade et vogue la galère ! Gérard n’a pas eu le temps de comprendre que déjà son vœu se réalise. Comme une furie je l’assaille, je monte, je descends, mon bassin claque sur son ...