1. Dérapages contrôlés et sortie de route


    Datte: 01/04/2018, Catégories: fh, hplusag, jeunes, telnet, hdomine, photofilm, Masturbation intermast, Oral

    ... contacts et je tape dans la foulée sur l’ouverture du message. Un sexe féminin s’affiche en un instant sur mon écran. C’est tellement incongru que je demeure hébété pendant quelques secondes. Je sors de ma torpeur et pense à un spam d’un vague site de cul, mais le titre de cette pièce jointe me remet immédiatement les idées en place.« Where are my panties ? » (Où est ma petite culotte ?). Aucun doute possible, c’est Emma qui poursuit le cours d’anglais en y ajoutant une sacrée dose de provocation. Bien que je l’aie eue sous les yeux pendant un bon moment la veille, et même en gros plan, j’avoue que j’aurais été incapable de reconnaître cette vulve en particulier. Et pourtant, là, cela me semble évident, c’est bien sa chatte que la coquine a photographiée et qu’elle m’a fait parvenir. Déjà, comment a-t-elle eu mon numéro ? Bien sûr, elle a pu le voler dans le répertoire de sa mère, mais encore une fois, j’envisage la complicité active de Marie. Ensuite, maintenant que j’ai le sien, dois-je lui répondre ? Et si oui, quoi ? Rentrer dans son petit jeu pervers ? Lui demander d’arrêter ses bêtises ? Je conclus qu’il vaut mieux m’abstenir, car répondre signifierait que j’officialise le démarrage d’une relation. Le reste de la journée se passe sans signe de vie d’Emma, sans que je puisse vraiment dire si j’en suis soulagé ou déçu. Vingt-quatre heures après la première photo, un nouveau MMS déboule avec son prénom comme expéditeur ...
    ... puisque je l’ai désormais enregistré : même type de cliché, même intitulé. Je conserve encore la stratégie du silence radio. Rebelote le lendemain, mais un détail attire mon regard : les lèvres vaginales paraissent enflées et luisantes. Je transfère le fichier sur mon ordinateur pour pouvoir zoomer. Conclusion irréfutable : Emma venait juste de se caresser avant de faire l’autoportrait de sa moule. Sans plus y réfléchir, je clique sur « Imprimer » et j’en profite pour faire aussi les tirages des deux premiers envois. Mon album s’agrandit les jours suivants. Un plan plus large me révèle qu’elle a rasé son minou en un adorable ticket de métro. Sur un autre, encore plus impudique, elle ouvre largement sa fente avec ses doigts. Je deviens familier des signes particuliers de son intimité : le rosé de ses chairs, le petit grain de beauté en bas à gauche de son pubis, le bourgeonnement de son clitoris. Je deviens accroc à ses photos, je les attends fébrilement chaque matin, je me branle en observant sa motte sous toutes les coutures. Elle est en train de me rendre dingue. Je craque au bout d’une semaine dans un véritable tête-à-queue mental. Je rédige un simple sms :« Your panties are waiting for you at home tomorrow 10 AM » (Ta culotte t’attend chez moi demain à 10 heures). Choix du destinataire : Emma, puis Envoyer. Sa réponse fuse dans la minute :« I’ll be there to take it back » (Je serai là pour la récupérer). Alea jacta est ! 
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