La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 576) - Histoires de Sexe

La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N° 576)

franckdocile au Château - (suite de l'épisode N° 557) - Le 2ème jour – Toutes ces émotions m'ont épuisé et je m’endors d'un seul trait. Je n'ai aucun moyen de savoir l'heure qu'il est lorsque je me réveille mais ce dont je suis sûr c'est que c'est un réveil naturel. Je suis même surpris par le silence et la calme qui m'entoure. Je ne sais même pas s’il fait déjà jour. Seule une faible lumière d'une veilleuse éclaire le chenil. La caméra est toujours pointée sur la cage, et je ne sais pas trop quelle conduite avoir mais je ne me sens pas très propre après ce voyage, cette première journée et cette nuit sans m’être lavé. J'aimerais beaucoup prendre une douche. J'aimerais aussi beaucoup manger car cela commence à me tirailler l’estomac après quelques heures sans avoir eu l'occasion de m'alimenter (cela ne m'était même pas venu à l'esprit jusqu'ici !). Ce n'est pas vraiment comme cela que je l'avais imaginé, mais mes vœux furent exaucés... En effet deux hommes que je ne connais pas et habillés comme des fermiers viennent me sortir de la cage et exigent de les suivre. On sort du Château par une porte annexe pour traverser l’immense parc verdoyant et bien calme en ce début de matinée pour arriver vers d’anciens et hauts bâtiments de plus de 50 mètres de long aux toits en ardoises noires. Et nous voici près de ce qui semble être une immense écurie désaffectée. Je dois me placer près d'un mur au-dessus d'une plaque d’égout et je comprends que je vais avoir droit à un certain ...

... nettoyage ! Effectivement malgré l'avoir anticipé, la sensation du jet du tuyau d'arrosage d'eau froide et le sourire moqueur des deux hommes est très humiliant. - Lave-toi le chien et insiste sur toutes les parties pour être bien propre ! dit-un des deux hommes en me lançant une savonnette. Ils coupent le jet d'eau et s'en vont en me laissant me laver. C'est très humiliant d'être traité de la sorte, n'importe qui de ce Château me traite comme un moins que rien et ma nudité n'interpelle personne. Ainsi je comprends mieux pourquoi le Maître m’avait dit que les mots ‘’pudeur’’ et ‘’intimité’’ devaient être bannis de mon vocabulaire, que je n’avais pas droit à la pudeur ni à l’intimité ! Je ne dois pas être le premier à passer par là. Je me sens vraiment à la merci de n'importe qui et tout ce que j'ai à faire c'est d'obéir à ce que l’on m'ordonne et cela sans aucune limite. Je m'attendais à obéir au Maître, Monsieur le Marquis d'Evans mais je ne pensais pas qu'il y avait autant de monde dans ce Château aux dépendances nombreuses et immenses comme ces anciennes écuries où je me trouve. Les bruits de pas des deux hommes revenant vers moi interrompent mes pensées. -Alors t'es propre, la chienne ? - Oui, Monsieur. - Alors on va te rincer, mets-toi en place… Cette fois-ci, je sens qu'ils font beaucoup plus attention à moi, peut-être ont-ils eu des ordres entre temps ? Le premier rinçage reste global, puis ils s'attardent sur ma bite puis mon anus. Ils me matent et ont sorti leurs queues de ...