1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (7)


    Datte: 02/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... les sommes astronomiques pour une soirée. Néanmoins, issue de la bourgeoisie, tout comme moi évidemment ma proposition ne lui plaisait guère. Déjà qu’elle avait passé la barrière incestueuse, je lui suggérais de faire l’amour, enfin de la baiser en public. Mais certaines conditions étaient requises et je me devais de lui en faire part. Auparavant, il me fallait m’assurer de savoir si elle était intéressée par cette aventure. J’avais des arguments et dans mon for intérieur, rien que de faire le voyage jusqu’à Genève déclenchait en moi un sentiment jouissif. — J’ai rien compris ? A part que tu aimerais me sauter en plein public, ça j’ai bien compris. Répondit-elle exaspérée de ma remarque déplacée en employant des termes qu’elle n’utilisait que rarement. — Oublie un peu tes principes, mets-les de côté pour une fois. Tu connais du monde en Suisse ? Personne si je me trompe et j’essaie de t’aider. — Oui mais c’est pas légal ce genre de truc et puis c’est un peu pervers tu ne trouves pas ? — C’est une sorte de voyeurisme et il s’agit d’un cercle fermé, Yan l’a fait une fois avec une cousine éloignée. Il m’a dit que c’était clean et rien de sado-maso, juste de l’érotisme et ils veulent voir de l’inédit. C’est tout. Argumentai-je tout en bichonnant instinctivement le dessus de ses orteils précieux. — Patrick je te fais confiance, je veux bien en savoir plus alors appelle Yan mais je ne suis pas du tout partante, je te préviens. Dans la foulée, je passais un coup de fil à mon ...
    ... meilleur ami. Sans rentrer dans les détails, il m’expliquait les formalités, à savoir rencontrer le comité et fixer une date et surtout ouvrir un compte en Suisse avec un nom d’emprunt. Enfin il ajoutait que la soirée se déroulait en deux parties, la première quand la femme devait se montrer docile et inversement pour la deuxième dans laquelle le mâle se devait d’être obéissant. Il me donnait un numéro de téléphone. J’appelais dans la foulée et une voix féminine avec un accent allemand me répondit. Je lui expliquais notre relation, nos âges et nos tailles respectives. Fortement intéressée par notre couple qualifié de parfait, elle nous fixa un rdv dans un grand palace parisien le lendemain soir. Ma tante paniqua immédiatement. — Demain ? Et qui sont-ils ? — Pas de panique Tatie, je réserve sur le net 2 billets en TGV et on prend un taxi ! Le lendemain soir, nous étions gare Montparnasse pour prendre un taxi. Véro avait suivant mes conseils en mettant son tailleur blanc ivoire avec escarpins assortis et un chemisier blanc. Pour ma part, un simple jeans avec mocassins et une chemise firent l’affaire. Je tentais de calmer Véronique comme je pouvais, une fois dans le hall du palace. Je demandais le nom de la personne, Madame Schmitt (quelle originalité) et nous prîmes l’ascenseur en 6ème étage. — Patrick, j’ai peur. — Ne crains rien, tu es avec moi. Je n’emmenais pas large mais je n’allais pas le lui montrer. Un petit toc à la porte et un grand type assez costaud nous accueillit, ...