1. Séduction délicate de la soeur de ma mère (7)


    Datte: 02/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... demandait à sa sœur si nous partions le lendemain matin, ce à quoi elle répondit par l’affirmatif. Les flutes étaient vides et personne ne prit de café. Ainsi mes parents montaient et nous laisser seuls sur la terrasse, le temps de fumer une cigarette. Nous étions debout et je m’approchais de ma tante afin de lui offrir une cigarette. Avec nonchalance, elle acceptait et me demandait du feu. Dans le même temps, ma main glissait le long de sa cuisse en relevant furtivement sa jupe. — Ca te convient, c’est comme tu aimes ? Dit-elle en faisant allusion à son absence de culotte. — C’est un peu fou… Je réalise tous mes fantasmes avec toi. Tu es belle, intelligente, grande, raffinée avec une poitrine comme j’aime. — Tu l’as dit, c’est un peu fou nous deux. Je suis un peu mélancolique ce soir Patrick, j’ai besoin de tendresse. Se désola-t-elle en fixant le ciel étoilé. — Allez Tatie ! Je vais passer te voir, j’attendrai ton signal et à force de regarder les étoiles, je vais t’amener à elles. — A propos d’étoile, je ne dois pas être née sous une bonne. Avec le divorce, la maison à entretenir et la faible pension, je suis un peu raide et Patricia ne me dit rien mais elle attend que je la rembourse. Je lui dois une sacrée somme. Se lamenta-t-elle. C’était une nuit de pleine lune et le jardin était illuminé par cette lumière blanche. Un aspect magique se dégageait en regardant Véro, bien droite et avec son tailleur impeccable. Cette histoire de dette me tourmentait. Pourquoi ma tante me ...
    ... racontait-elle tout cela ? — Elle te doit combien ? — Tu ne le répètes à personne…Elle m’a prêté 50.000 euros depuis près de six mois et je ne sais pas quoi faire. — Bon je vais me coucher et on en reparle demain. J’ai des petites économies, environ 7.000 euros. — Ah non Patrick, tu n’y penses même pas ! Bon on monte et je te fais signe. — T’es ma Tatie d’amour ! Lui dis-je en lui faisant un long baiser. Sachant qu’elle ne portait pas de culotte, nous reculions peu à peu à l’écart des portes vitrées. Notre étreinte prenant fin, je soulevais sa jupe pour prendre à pleines mains ses fesses dont je devinais les courbes. — Qu’est-ce que t’es bandante ! Lui dis-je en promenant ma main dans la raie de son superbe cul. — Patrick ! Nous sommes chez tes parents ! S’indigna-t-elle. — Je sais… Lui dis-je en cajolant son intimité. Du coup ma tante posa sa tête sur mon épaule et écarta les jambes. Elle jouait les vierges effarouchées mais restait une sacrée baiseuse. Du fait d’une légère caresse le long de ses grandes lèvres et la voilà qui s’agrippait à moi. Preuve que sa libido était au top, elle me fit un baiser dans le cou pour m’inciter à continuer. — Véronique ! Appela ma mère. — Ne dis rien… Lui soufflai-je en introduisant mon doigt dans son vagin. — Oh comme j’aime. Gémit-elle parcourut de légers spasmes en se laissant faire à ma guise. J’adorais faire ce genre de choses avec elle, je la savais à ma portée, je faisais ce que je voulais d’elle. Elle en était consciente et plus je ...
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