L'experte - confessions d'un couple perv
Datte: 02/04/2018,
Catégories:
Anal
Lesbienne
Mature,
Un grand changement se prépare dans ma vie. Nous allons déménager, Gregory et moi. Gregory, c’est mon compagnon. Vous verrez j’aurai souvent l’occasion de vous parler de lui. Un sacré salaud, au sens du masculin de salope, voyez… Monté comme un cheval en plus, et toujours au garde à vous. Nous avons nos petits hobbies comme tout un chacun. Greg aime bien prendre des photos ou tourner des vidéos, par exemple. Mais ce que nous préférons par-dessus tout, ce sont nos petites séances de domination. Rondes, fines, jeunes, matures peu importe du moment qu’elles sont soumises, elles nous conviennent toutes.Je vais vous raconter notre dernière aventure. A propos de notre déménagement, justement, nous allons vendre notre appartement pour emménager dans un pavillon de banlieue. Ne perdons pas le sens pratique, nous aurons par la même plus d’espace pour nos débauches. Nous avons fait appel à une agence pour expertiser notre appartement. Lors du premier rendez-vous, j’ai tout de suite compris à qui nous avions affaire. L’experte approche la quarantaine mais elle est très bien conservée. Un peu enveloppée, juste ce qu’il faut, une poitrine généreuse, mais elle fait coincée, avec son air pincé et son chemisier fermé sous le menton. Elle cache bien son jeu, mais, aux regards de biais qu’elle jette sur mes genoux et mon décolleté, je vois bien qu’en plus d’aimer l’ordre et la propreté, elle apprécie également les femmes. Il faut dire que je m’habille très court et bien échancré.Le jour du ...
... rendez-vous, nous l’accueillons dans des tenues décontractées, Greg en short et torse nu, moi peignoir en soie et nuisette. La femme prend un air encore plus pincé avant de dire :- Excusez-moi, je pensais que nous avions rendez-vous… Je vais vous laisser le temps de vous habiller.Je lui explique qu’elle ne nous dérange pas du tout, qu’elle peut se décontracter…C’est quoi son prénom déjà ? Béatrice. OK Béatrice on peut commencer la visite. Gregory s’éclipse, prétextant une histoire de pièce d’ordinateur à aller acheter. Nous avons vite fait le tour de l’appartement et finissons par la chambre. Il y règne un désordre sans nom. Il faut dire que l’on s’est bien amusé hier soir. En se penchant un peu, on pourrait voir un gros gode qui a roulé sous le lit… Les draps forment un tas infâme et l’odeur qui règne ne laisse aucun doute sur la nature de nos exploits nocturnes. Béatrice réprime un haut le cœur : « je ne me sens pas très bien, me dit-elle ».- Vous voulez vous assoir ?- Surtout pas !Sans tenir compte de ses protestations, je vire les fringues qui couvrent une chaise et la glisse sous ses grosses fesses.- Je vais aller vous chercher quelque chose à boire.Je reviens avec un petit verre d’eau de vie. La pauvre est tellement désorientée qu’elle l’avale d’un coup. « Oh c’est fort ». Elle se détend un peu. J’en profite pour la cuisiner. Y a-t-il un monsieur Béatrice ? Qu’est-ce qu’il fait dans la vie ? Elle bafouille des réponses inaudibles. Je me penche vers elle et rive mes yeux ...