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Les réunion Parents-Profs ont parfois du bon...
Datte: 02/04/2018, Catégories: ff, odeurs, Masturbation intermast, Oral initff,
... lui. J’en gardais une blessure intime qui inconsciemment favorisa ce qui allait suivre… @@@@@ Appuyée au rebord du bassin je reprenais mon souffle après un mille-mètres fini dans la douleur. Je nageais désormais le soir dans un créneau réservé aux adultes afin de pouvoir enchaîner les longueurs sans être constamment gênée par la foule des familles. Il y avait peu de monde de motivé à cette heure tardive, ainsi je fus surprise lorsque quelqu’un m’adressa la parole. — Bonsoir. Je me retournai, mais le visage qui me faisait face ne me disait rien du tout. Il était vrai qu’avec un bonnet et des lunettes de piscine, tout le monde ressemblait à tout le monde. Ce fut lorsqu’elle ôta sa panoplie de nageuse d’eau douce que je pus enfin la reconnaître. Il fallait dire que son regard vert était reconnaissable entre mille. Marion, l’instit de Stella, barbotait à quelques centimètres de moi. Mon cœur se mit aussitôt à battre plus vite, car, même les cheveux bruns ébouriffés par le bonnet, les joues rougies par l’effort qu’elle venait d’effectuer, elle était encore à croquer ! Je retrouvai son beau sourire avec délice et nous bavardâmes quelques minutes sans porter attention aux autres nageurs que nous gênions probablement. Malgré tout le plaisir que je prenais à cette conversation je frissonnai de froid et Marion le remarqua. — Moi, je finis souvent la séance dans le jacuzzi pour me réchauffer. Je la regardai, étonnée par cette quasi-invitation, mais son sourire et son regard doux me ...
... rassurèrent et j’acceptai cette excellente idée. Plus proche de l’échelle, je sortis du bassin avant elle et consciente qu’elle allait avoir mes fesses sous les yeux je contractai mes abdominaux pour me gainer au maximum. Je ne voulais pas paraître trop moche… Seules, dans les bulles d’eau plus chaude, nous nous détendions en bavardant comme deux amies que nous n’étions pas encore. Nous parlions de tout et de rien sans mentionner une seule fois Stella ni l’école comme pour éviter de me rappeler que j’étais une mère de famille dont le mari et la fille l’attendaient au foyer… Je n’avais pas pu détailler le corps de Marion à sa sortie de l’eau, mais le souvenir de ses fesses dans son jean moulant, le soir de la réunion, suffisait pour le moment à mon bonheur d’autant que j’avais son magnifique visage en face de moi. Le bruit du jacuzzi rendait difficile la tenue d’une conversation très soutenue, mais peu importait. Nos regards se trouvaient sans problème et la douceur que je lisais dans le sien me faisait un bien fou. J’étais détendue sur tous les plans et fus déçue lorsque le maître-nageur nous fit comprendre que la piscine allait fermer. Je lus la même déception dans les yeux de Marion qui se levait déjà pour quitter le bassin me permettant de regarder discrètement ses formes de jeune femme sportive au corps fuselé que son maillot noir rendait encore plus désirable en moulant son anatomie, en particulier ses petits seins aux pointes dressées. Troublée par ce spectacle, je rougis ...