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Les réunion Parents-Profs ont parfois du bon...
Datte: 02/04/2018, Catégories: ff, odeurs, Masturbation intermast, Oral initff,
... m’embrassa avec une passion accrue. Cette fois je n’allai par me dérober et le souvenir douloureux d’Allison traversa un instant mon esprit pour le quitter à jamais. Ses doigts fins étaient maintenant à la limite de mon string dont la moiteur ne pouvait lui échapper. Presque honteuse je sentais mon sexe imbiber le tissu d’un désir d’une intensité inconnue jusqu’alors. J’allais jouir sur-le-champ si je ne me reprenais pas ! Marion le sentit et stoppa la progression de sa main, mais ne m’abandonna pas pour autant. Sans cesser de m’embrasser elle me fit allonger pour mieux m’offrir et commença à déboutonner ma robe. Comprenant que bientôt j’allais être offerte à sa vue, je gémis de plaisir. Les boutons étaient vaincus et ma robe pendait de chaque côté de mon corps moite. Marion interrompit notre baiser et me sourit. — Tu es magnifique, Maud. Je me forçais à la croire, doutant tout de même de ma tenue : en dessous de dentelle blancs certes, mais sûrement décoiffée et les joues rosies de désir, je devais ressembler à une furie. Elle aussi était belle, mais trop émue pour parler je me contentais de lui sourire en frôlant sa joue. Ma jeune maîtresse défit lentement son chemisier fluide qui révéla une poitrine menue juste masquée par un soutien-gorge quasi transparent. Je devinais plus que je voyais ses petits mamelons qui avaient attiré mon regard à la piscine. Marion cherchait un assentiment dans mes yeux et mon sourire amoureux (oui, c’était le mot) la rassura si bien qu’elle ...
... se leva pour faire glisser sa jupe dans un mouvement de hanches érotique sans être vulgaire. Son ensemble de lingerie était tout simplement envoûtant : son string laissait deviner une mini toison noire de moins en moins fréquente chez les femmes qui avaient, moi la première, cédé à la mode de l’épilation intégrale. Les mots me manquaient pour traduire mon émotion et je me contentais de lui tendre les bras pour l’attirer sur moi. Marion m’enlaça et nos bouches se trouvèrent à nouveau pour un baiser moins brusque et plus langoureux que le précédent. Nos corps s’emboîtaient comme s’ils se connaissaient depuis toujours et n’étaient entravés par aucun vêtement, ma robe ayant rejoint à terre ceux de ma maîtresse. Ses mains repartirent à la conquête de mon corps et cette fois je ne me retins pas. Je gémissais au fur et à mesure de leur progression inexorable. Bouche soudée à la sienne, je lâchais de petits cris lorsque mes seins furent frôlés, caressés, légèrement pincés à travers le tissu de mon soutien-gorge qui me gêna bientôt. Marion les libéra alors pour mieux les empaumer. Je gémis plus fort incitant la belle brune à interrompre notre baiser pour mieux m’entendre et m’encourager. Ses mots étaient ceux d’une maîtresse attentive, sensuelle eta priori experte, car je l’implorais bientôt de me lécher les seins, moi qui, dix minutes plus tôt, avais peur de jouir trop vite. Marion obtempéra et au contact de sa bouche sur ma pointe, mon corps se cambra pour mieux s’offrir. La belle ...