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Sandrine et les trahisons (8)
Datte: 03/04/2018, Catégories: Hétéro
... la départementale. Nous en sortons et montons dans des pâturages verdoyants avant d’atteindre un petit village. Je m’arrête et conseille à Sandrine de laisser sa voiture sur le parking. On ne viendra pas la chercher dans un endroit aussi perdu. Elle prend un grand sac dans son coffre et nous profitons d’une boulangerie pour manger un bout de pizza. Nous reprenons ensuite ma voiture. Nous entrons dans une forêt au milieu de laquelle nous découvrons un château : notre hôtel. — C’est là ? T’es malade ou quoi ? Ça a dû te coûter un bras ! — Il y avait une promotion très intéressante. On a le petit-déjeuner mais pas de souper. — Bon, ok. On y va. Mais je paie à manger ce soir. Introuvables. Nous prenons rapidement possession de notre chambre. Un petit coin de paradis situé sous les toits du château. Un petit balcon nous permet de profiter d’une vue magnifique d’où, curieuse coïncidence, on aperçoit Annecy. Nous décidons de ne pas rester au château durant l’après-midi et nous partons marcher à pied durant près de trois heures dans la montagne. Nous revenons à l’hôtel et je me douche rapidement tandis que Sandrine prend un bain. Elle reste plus d’une heure dans la salle de bains et cela m’inquiète. Je toque à la porte : — Ça va, Sandrine ? — Oui, oui, tout va bien. J’arrive dans cinq minutes. Elle tient parole, à trois minutes près, et sort de la salle de bains vêtue de sa robe de mariée. Je suis soufflé. Elle est lumineuse, elle irradie. Coiffée, maquillée, elle est ...
... plus belle que jamais. Mes yeux se mouillent. Je me souviens qu’elle avait choisi cette robe bustier satinée qui avait ma préférence parmi les modèles qu’elle m’avait présenté. Elle s’avance, rit de mon émotion. Elle s’approche de moi et m’embrasse, puis elle me prend par le bras et m’entraine devant le grand miroir qui orne notre chambre. — Veux-tu m’épouser ? J’éclate de rire. Elle sourit largement et proteste : — Allez, joue le jeu ! — Oui, je veux t’épouser. Sandrine me passe alors une pseudo alliance faite en papier d’aluminium. Je lui enfile la sienne. Nous nous embrassons. Elle dit : — Nous sommes mari et femme pour la nuit. Nouveau baiser puis Sandrine s’agenouille pour me sucer. Quand elle se relève, je lui enlève délicatement la robe. Si elle ne porte pas son string qu’elle ne voulait pas salir, Sandrine a néanmoins passé un porte-jarretelles et des bas. Je constate également qu’elle est complètement rasée. Je lui lèche le minou avec avidité et elle jouit à deux reprises. Alors que je me relève pour aller chercher un préservatif, Sandrine me demande : — Où vas-tu ? — Prendre une capote. — Je n’en utilise pas avec mon mari. Je la regarde, incrédule. ofdorrmz — Tu veux vraiment que… — Oui. Viens. Nous faisons divinement l’amour. Sandrine prend manifestement son pied et il en est de même pour moi. Notre rapport se termine par une courte sodomie qu’elle n’avait essayé qu’à trois reprises avec son copain. Pour la première fois, un homme jouit dans son cul.