Avalanche de plaisir (1)
Datte: 03/04/2018,
Catégories:
Hétéro
... amis et s’assirent l’un en face de l’autre. Excuse-les, commença Léo. Tu les connais, ils ne peuvent pas s’empêcher de s’envoyer en l’air avec leurs meufs, même si nous, pauvres célibataires que nous sommes, les regardons. Ouais, bah ils auraient pu prévenir, ou mieux, se retenir et faire ça, je sais pas moi, dans les toilettes par exemple. Léo voulut répondre, mais il remarqua les légers tremblements du corps de son amie. Tu as froid, s’inquiéta-t-il ? Un peu, avoua-t-elle. Sûrement à cause de la neige. Sans attendre, il ôta son pull de laine et le lui tendit. Pensant le trouver torse nu, Camille regarda son torse mais eut la surprise de trouver un T-shirt blanc. Tiens, mets-ça, tu te sentiras mieux, dit-il. Merci, dit-elle en enfilant le vêtement. Tu es sûre que.... Quoi ? Pourquoi tu rougis. Euh... pour rien, répondit-il, gêné. Allez ! Dis ! Le jeune homme se racla la gorge, plus pour garder ses esprits qu’autre chose. Eh bien, tu es toujours nue, et... tu écartes les jambes quand tu trembles. Camille regarda alors ses cuisses et s’aperçut qu’il n’avait pas tort : son sexe était totalement visible pour Léo. Tu as regardé ? Demanda-t-elle en resserrant les jambes et en cachant son visage, rougi par la honte, sous son bras. Oui, dit-il gêné, mais c’était vraiment par hasard, je te voyais juste trembler quand je l’ai vu... Mais tu restes très joli, dit-il comme pour se rattraper. C’est... C’est vrai ? Tu me trouves jolie ? Demanda-t-elle, rougissant plus encore. Euh, oui, ...
... bien sûr que je te trouve sublime, dit-il en avalant sa salive. Les yeux perdus dans le néant, le visage de Camille s’approcha lentement de celui de Léo et, quelques secondes plus tard, lorsqu’il put sentir la chaleur des expirations régulières de son amie, les lèvres du jeune homme rencontrèrent celles de Camille. Un baiser court mais agréable claqua parmi les rugissements de jouissance des filles, probablement en pleine action avec Killian et Greg, de l’autre côté de la butte. Pendant quelques secondes, Léo se perdit dans ses pensées, incapable d’oublier la sensation de la fille assise, nue, en face de lui qui l’embrassait. C’est bon, tu peux la regarder, dit Camille, écartant davantage les jambes. Les yeux de Léo rencontrèrent l’intimité de la jeune femme. Il regarda rapidement les lèvres entre-ouvertes de son vagin ainsi que son clitoris sortant du petit bouclier de peau qui le protégeait. Il remarqua également un léger écoulement de cyprine sortant tout droit de son sexe. Tu es sûre que c’est parce que tu avais froid que tu tremblais ? demanda-t-il. Bien sûr, répondit-elle calmement. Pourquoi sinon la fraîcheur ? Sans attendre la permission, Léo enfonça son doigt dans le vagin de Camille. Cette dernière poussa un léger soupir de plaisir et n’essaya même pas de retenir le jeune homme. Oh la vache, mais t’es trempée ! s’exclama-t-il lorsqu’il ressorti un doigt couvert d’une substance aqueuse. J’avoue que les autres m’ont pas mal excitée, avoua-t-elle en rougissant. Ouais, ça ...