L'APPRENTIE...10
Datte: 03/04/2018,
Catégories:
Masturbation
Première fois
Voyeur / Exhib / Nudisme
... nous avons des ordres. Monsieur Dominique n’apprécierait pas de vous voir.Vanessa se laissa entrainer sur quelques mètres avant de réagir. Elle haussa le ton et se mit à crier :- Qui est ce Dominique ? Où est ce vieil abruti ? Qu’il aille se faire enculer par son père et par sa mère ! Et Ange ? Et ma fille ? Laissez-moi passer !Les deux hommes continuèrent leur manœuvre, dirigeant, sans plus un mot, Vanessa vers la sortie. Il ne lui restait plus qu’une solution pour faire venir Ange ou le vieux.Elle se débattit et les deux gardes surpris la lâchèrent une fraction de seconde, juste assez pour qu’elle se mette à courir en hurlant vers la porte d’entrée de la vieille bâtisse. Elle se souvint du conseil de Narcisse de ne pas entrer sous quelque prétexte que ce soit dans la maison et de rester toujours visible. Elle ralentit sa course, pour se faire reprendre par les deux sbires.Elle continua à hurler :- Vieux salaud, rends-moi ma fille ! Tu m’entends, t’es qu’une raclure de sale Corse ! Dominique ! Ange ! Vous êtes des lâches ! Vous crevez de trouille devant une femme ! Bande de lopettes !Elle connaissait les risques insensés qu’elle prenait à provoquer le vieux Di Marco chez lui. Pensant qu’il ne viendrait pas, elle ajouta :- Et si je sors de là sans ma fille, je balance tout aux flics ! T’as bien compris, vieille merde !Elle entendit un volet s’ouvrir au premier étage. Un vieil homme à la moustache tombante apparut à la fenêtre entrebâillée. Il portait un costume de velours ...
... noir, une chemise d’une blancheur immaculée et un chapeau de berger à large bord. Il fit un signe à ses gardes et referma les volets sans prononcer un mot.Vanessa qui s’était calmée, reprit ses vociférations. L’un des gardes lui tapa sur l’épaule et lui indiqua d’un geste que le patron allait venir. Elle le vit bientôt apparaître sur le pas de la porte. Il avait l’air d’un seigneur. Malgré son âge, il avait conservé sa prestance et son regard froid se fixa sur elle pour ne plus la quitter. Il fit quelques pas dans sa direction, la démarche hésitante, soutenu par sa canne de berger, un lourd bâton de châtaignier.C’était la première fois que Vanessa le voyait. Ainsi, c’était ce vieillard apparemment inoffensif qui se livrait à toute sorte de trafics. Il ressemblait à ce qu’il aurait dû toujours être, un simple berger, un berger corse.Sur un petit coup de menton du patriarche, les gardes s’éloignèrent, le fusil à la main. Il avança de quelques pas en la toisant puis, sur son visage ridé, apparut un petit rictus de mépris. Enfin, il ouvrit la bouche et d’un ton fatigué et hautain, il s’adressa à celle qui l’importunait :- Qui es-tu pour venir m’emmerder et me dire des mauvaises choses dans ma maison ? Ta fille, tu veux ta fille ? Mais de quel droit ? C’est une Di Marco, non ? C’est bien le nom que tu lui as donné et qu’elle porte ? Alors, tu dégages d’ici, tu es chez moi ! Tu m’entends, chez moi ! Ti salutu cù u fiascu è l'imbutu ! Maintenant, fous-moi le camp, salope, ou je te ...