Premier emploi commercial (3)
Datte: 03/04/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Laurent prit une grande inspiration et commença à frapper les fesses de Sally avec force et détermination. Il l’entendais geindre en retenant ses plaintes, elle avait peur de l’indisposer ; ses larmes coulaient. Elle gigotait pour échapper à ses claques, honteuse de se faire corriger comme une enfant mais elle sentait en même temps qu’il se retenait. Il veillait à ce que sa correction soit dure mais juste, sans mauvais esprit. Elle ressentait une douleur à chaque frappe et il fallait qu’il la tienne fermement de sa main gauche pour qu’elle ne soit pas tentée de s’échapper. Voyant que les fesses de sa subordonnée devenaient rouges, il fit une pose et se mit à les caresser délicatement. — C’est presque terminé, ne vous en faites pas, dit-il en regroupant sa crinière blonde de ses deux mains. Il saisit alors la chevelure de Sally de la main gauche et tira pour lui redresser la tête. — Ouille, fit-elle. Mais il ne lui laissa pas le temps de protester, il reprit sa fessée de plus belle en la tenant maintenant par les cheveux. Sous la douleur, ses jambes gainées de bas blancs battaient l’air au rythme des coups. Puis tout s’arrêta soudain et l’ambiance s’apaisa. — Bravo, vous avez passé cette épreuve avec courage, dit-il en effleurant son dos et ses pommes d’amour maintenant cramoisies, il me reste à vous récompenser pour votre réussite. Il saisit alors quelque chose à proximité. — Écartez vos fesses, ordonna-t-il, je ne voudrais pas vous faire mal, ne bougez plus. — Mais que… ...
... Elle sentit qu’il distendait doucement son œillet et qu’il y faisait pénétrer un plug métallique. C’était dérangeant pour elle car elle n’avait jamais laissé passer un homme dans son étroit conduit. Une fois l’objet en place, Laurent lui asséna deux petites claques sur le derrière pour lui signifier qu’elle pouvait disposer. — Bien, une bonne chose de faite, vous garderez ce rosebud sur vous pendant une semaine, quand vous serez au travail, cela montrera votre bonne disposition. Sally sortit, soulagée et humiliée à la fois en se frottant le postérieur, elle fut interceptée par Marie-Ange qui avait compris ce qui s’était passé. — Vous mettrez ce baume, prescrit-elle en glissant à Sally un petit récipient. Celle-ci s’éloigna en rougissant et s’empressa d’aller refaire son maquillage. En marchant, elle sentait en elle cet intru et mit quelque temps avant de l’oublier. Le soir, en repensant à cette scène, elle fut désappointée car si l’humiliation lui revenait en mémoire, une certaine excitation l’accompagnait. Le lendemain matin, elle allait sortir de chez elle quand elle se sentit soudain nue, il manquait quelque chose : elle se rappela alors qu’elle devait enfiler le bijou anal. Elle le lubrifia avec la langue puis l’introduisit, c’était déjà plus facile, la petite porte avait gagné en souplesse. Elle s’en félicita, pensant que ce serait moins gênant à l’avenir. Comme tous les matins, elle se présenta pour faire examiner son intimité mais alors qu’elle allait partir, Laurent ...