Ma mère au bois dormant
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Première fois
... précipitamment ma main indiscrète et me reculais prestement.Ma mère a soupiré et changé de position dans son sommeil. Je retins mon souffle, pétrifié à l’idée qu'elle puisse se réveiller et découvrir mes vicieuses investigations. Petit à petit, comme il ne semblait pas qu’elle se réveille, mon cœur retrouva un rythme normal et ma panique s'estompa.J'en restais là ce soir là, trop d'émotions me faisait tourner la tête. Une fois dans ma chambre, dans le secret des draps de mon lit, je me masturbais avec ivresse, songeant à ce sexe féminin chaud et humide que j’avais exploré du bout des doigts. Photoshttp://uii.io/cwIfsLes jours suivants je pris de plus en plus d'assurance.Je pénétrais maintenant dans la chambre où ma mère dormait, sans crainte, sachant par expérience qu’elle ne se rendrait pas compte de ma présence. Par sécurité quand même, je lui prenais l'épaule pour la secouer. Etant enfin bien certain de son état comateux, je me livrais à mes vicieux attouchements.Ayant pris de l’assurance par rapport aux premiers jours, je commençais par repousser le haut de la chemise de nuit, pour dénuder les merveilleux seins blancs. N’étant pas pressé, sachant que j’avais toute la nuit devant moi, je les caressais longuement avec ivresse.Je m’excitais à masser la chair élastique des appas mammaires, à agacer leurs tétons qui, sous mes attouchements se raidissaient et se dressaient, pareils à ma bite au bas de mon ventre. Puis une fois mon excitation au maximum, la queue ...
... douloureusement raidie, je changeais de zone.Abandonnant les seins gonflés, je m’empressais de baisser la fine culotte de nylon, dénudant avec émotion le bas-ventre de ma mère.La vue de l’abondante toison noire qui couvrait le pubis ne faisait alors qu’augmenter encore mon désir. Le souffle précipité, j'écartais avec précaution les larges cuisses à la chair blanche pour mieux voir la fente poilue et brune qui courait jusqu'au pubis, que je contemplais longuement, avant de m’en retourner dans ma chambre.L’esprit rempli de cette vision aphrodisiaque, je me masturbais alors jusqu’à l’éjaculation libératrice.Le lendemain soir, aiguillonné par mes sens en émoi, j'ai repris mes explorations sexuelles. Après avoir forcé ma mère à ouvrir ses cuisses, j’ai largement écarté la faille sexuelle abondamment poilue, dans laquelle j’ai introduis un doigt curieux.Le cœur battant la chamade, j'ai enfoncé mon doigt aussi loin que possible dans le vagin, étonné de la moiteur qui engluait mon majeur. Me rendant compte, à force de tâtonner à l’intérieur de la vaste grotte sexuelle, combien le sexe de maman était large, j'y ai enfoncé un deuxième doigt.Avec ivresse j’ai fait coulisser, à l’intérieur de la grotte intime, mon index et mon majeur accolés qui ressortaient de plus en plus trempés. Je restais quelque peu étonné devant cet afflux de liquide chaud qui sourdait des profondeurs du vagin de ma mère, alors que celle-ci dormait profondément.Je continuais mon exploration de plus en plus excité. La vulve que ...