Un, deux, trois !
Datte: 18/06/2017,
Catégories:
fh,
cocus,
copains,
vacances,
hotel,
dispute,
Oral
69,
pénétratio,
fsodo,
confession,
... me remémorais avant son intervention. — Tu bandes, coquin. Toi aussi cela t’excite de le savoir endormi à côté. La main me branle doucement. Ce n’est pas désagréable, au contraire. Baiser va me décontracter, et après je vais bien dormir pour être frais comme un gardon et prendre la route. Mais Séverine a envie de plus. Je la sens bouger ; le matelas ondule comme si on appuyait à gauche puis à droite de ma tête. C’est sentant ma bite embrassée et une chaleur humide sur moi que je comprends que la coquine s’est mise en 69. Alors qu’elle me gobe tout cru avec une sorte de frénésie que je ne lui connaissais plus, sa fente réclame des caresses. C’est vrai qu’elle est humide, la cochonne. La présence de notre ami à côté l’a drôlement excitée. Il y a longtemps qu’elle ne m’avait montré une telle envie. C’est aussi un peu ma faute. En acceptant la responsabilité du service à l’hôpital, j’ai allongé mes journées de travail. Peut-être aussi un peu de lassitude. Mais également la présence de mon copain Arnaud que nous logeons, depuis que sa femme l’a viré et qu’il cherche un appart, ce qui ne favorise pas l’intimité du couple. Sauf que c’est le même copain qui semble la cause de la frénésie de Séverine. Elle ondule du cul alors qu’elle bouffe ma bite comme si c’était la première fois. J’essaie de canaliser ses reins en plaquant mes mains sur ses fesses. Je peux alors, plus calmement, la caresser. Ma bouche, ma langue, même mon nez participent. Elle sent bon, même son petit trou semble ...
... parfumé. La coquine devait avoir cette idée avant de se coucher pour se faire une telle beauté. J’apprivoise l’anus avant d’y pousser ma langue dans une feuille de rose qu’un parfumeur ne renierait pas. Sa chatte est un gouffre. J’y pousse mon nez, caresse que je viens de découvrir très récemment avec une amie qui apprécie le souffle chaud qui s’en échappe. Et, oh, moi aussi je sens sa respiration. Elle me gobe entièrement et mes couilles sentent l’air chaud que ses narines expulsent en accéléré. Putain, que c’est bon ! Si j’avais su que la présence de notre voisin l’excitait à ce point, je me serais arrangé à la maison pour créer des situations équivalentes. Son clitoris est si sensible que les quelques secondes où je le décalotte, l’extrais de sa cachette pour l’aspirer, déclenchent une jouissance. Ma queue me transmet le grondement de la coquine qui me propose son jus en dégustation. C’est délicieux ! Elle se soulève un peu, me privant de sa fente. Séverine, comme beaucoup de femmes, après une jouissance par excitation du bouton est si sensible que continuer de la caresser est presque douloureux. Heureusement, cela ne dure pas. Elle a tout le loisir de s’occuper de moi. Et la friponne s’y attelle si bien que j’aimerais la voir faire, quoique le noir total a ses avantages. C’est juste que la prochaine fois je nous filmerai. Je sais qu’elle ne veut pas, de peur qu’on la retrouve sur le net, mais je le ferai discrètement. D’ailleurs, pourquoi ne pas utiliser les caméras IP de ...