1. Julie est amoureuse


    Datte: 03/04/2018, Catégories: hh, jeunes, extracon, copains, lunettes, caférestau, amour, hsoumis, hdomine, contrainte, Voyeur / Exhib / Nudisme Transexuels Oral hdanus, hsodo, sm, init, ecriv_f,

    ... et en me demandant d’écarter le plus possible les jambes. J’avais l’impression d’exécuter une figure de gymnastique. Je ne pouvais faire mieux. Alain recommença ses assauts. Au bout de quelques tentatives, le gland parvint à s’enfoncer quelque peu. — Pousse, comme si tu avais envie d’aller aux toilettes, me dit-il. Je me mis donc à pousser. Ce fut comme si je faisais sauter les derniers obstacles. Le sexe d’Alain me perfora jusqu’à la garde. La douleur fut intense, mais je n’arrivai pas à crier. Je poussai des petits jappements incontrôlés. Une brûlure se propagea dans mes chairs intimes et me fit cambrer les reins. Alain prit cela comme un encouragement et se mit à me pistonner violemment, les deux mains accrochées à mon bassin, tout content de m’avoir enfin transpercé. A chaque coup de reins, je me sentais comme ouvert en deux. Ma vue se troublait, tout mon corps allait et venait au rythme des coups de butoir de mon homme. Mes faux lolos cognaient furieusement dans le chemisier, et mes longues boucles d’oreilles ne cessaient de gifler mes joues. Je n’arrivai pas à lui dire de se calmer, les seuls sons sortant de ma bouche étant limités à des geignements de souffrance. Le lit grinçait au rythme du pilonnage de sa queue. — Mais elle aime ça, ma Julie, éructa Alain, en soufflant comme un taureau. Je n’arrivai toujours pas à répondre. Encouragé par mes gémissements, il accéléra encore la cadence. Je me mis à glousser, sans pouvoir me contrôler. Cela excita davantage Alain. — ...
    ... Alors, tu jouis, ma belle ! J’étais littéralement défoncé et criai, hurlai, sans pouvoir me retenir. Cette cadence infernale vint vite à bout de la résistance de mon étalon. Les doigts enfoncés dans mes hanches, il éjacula bruyamment, meuglant comme un taureau. Encore quelques va-et-vient et le calvaire s’arrêta. Alain se retira, me claqua les fesses comme on flatte la croupe d’une jument et me dit : — J’ai comme l’impression que tu es faite pour la sodomie. Quelle chevauchée ! C’était extraordinaire ! Je ne pus lui répondre. J’étais véritablement sonné. Mon anus était en feu et je me sentais vidé. Un comble après s’être fait remplir le fondement ! Je n’avais toujours pas bougé ni dit un mot, lorsque Alain recommença à me doigter. Afin d’éviter de nouvelles douleurs, je me retournai enfin. Alain me prit la tête et la dirigea, sans aucune résistance de ma part, vers son sexe. — Allez, termine le travail. Tant qu’à faire, je préférais cela ! Je pris son sexe en bouche. Il était maculé de sperme, de sécrétions anales et même de sang. Le salaud m’avait déchiré. Je pompai son dard, la tête vide, l’anus grand ouvert, un goût désagréable dans la bouche, mais je n’arrivais même pas à être dégoûté… De temps à autre, je sentais du sperme couler de mon trou béant le long de mes cuisses. Qu’importe ! Je suçais de manière mécanique et, sans m’en apercevoir, je redonnai vie à son sexe. Dès qu’il fut à nouveau en forme, Alain me demanda de reprendre la position pour une nouvelle sodomie. Je ...
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