Quelques jours à la voile - Histoires de Sexe

Quelques jours à la voile

... compagnes. Admiratif de ces deux superbes poitrines qui semblent pointer vers mon regard, je sens mon sexe durcir et être de plus en plus à l’étroit dans mon maillot de bain. Heureusement que je porte un shorty, car mon sexe ne manquerait pas de dépasser si j’avais un maillot de piscine. Je n’ose bouger et je vois que Louise a dû repérer mon « problème ». — Tu vas bien, Serge ? me demande-t-elle.— Oui, parfaitement, lui réponds-je, comment être mal dans de telles conditions ? Alors que nous finissons notre café, nous sommes maintenant tout près de l’île du Levant connue notamment pour ses naturistes et sa base militaire. Sophie reprend la barre et nous guide jusqu’à la baie où nous allons passer l’après-midi. Elle appuie sur deux commandes et les voiles s’enroulent dans leurs logements respectifs. Louise est assise à mes côtés, elle est blottie dans mes bras alors que Sophie, concentrée sur sa manœuvre, nous mène jusqu’à la baie. Je vois que Louise regarde Sophie manœuvrer, elle semble autant perturbée que moi par le spectacle offert par notre skipper. Je suis sûr qu’elle mouille, je la connais, je sais qu’elle aime les jolies femmes et qu’elles peuvent même la troubler. — Serge, tu peux aller devant et faire descendre l’ancre, s’il te plait ? Le guindeau est électrique. Quand je te le dirai, tu appuieras sur le bouton de descente et tu vérifieras que tout se passe bien.— OK, Sophie, je m’en occupe, lui réponds-je,même si j’aurais préféré m’occuper de ses jolis petits seins, ...

... me dis-je intérieurement. Je vais à la proue et attends les consignes. — C’est bon, Serge, vas-y, lâche tout ! me crie-t-elle. Heuuu comment ça « lâche tout » ? Ah ! mince, oui, elle me parle de l’ancre, je dois faire descendre l’ancre. Décidément je dois avoir la tête ailleurs. Ou alors, je suis un obsédé ou elle l’a fait exprès. Bon, je pense que je suis un obsédé et j’obéis à Sophie et fais descendre l’ancre jusqu’au fond. Après quelques secondes, je la vois juste en dessous bien posée sur le sable à une dizaine de mètres de profondeur. — C’est bon, Sophie, j’ai libéré toute la chaîne, l’ancre repose sur le sable.— Parfait, me dit-elle, j’achève la manœuvre. Marche avant, marche arrière. Sophie arrête le moteur et vérifie que notre bateau ne dérive pas. Nous sommes à moins de cinquante mètres du rivage. Nous vérifions que le bateau est bien stabilisé et nous nous préparons pour notre premier bain. Je prends mon masque, mon tuba et plonge à l’eau sans hésiter. Je sais qu’à cette saison l’eau est déjà bonne et je ne me suis pas trompé, elle est excellente. J’enfile mon masque, ajuste mon tuba et je commence à profiter des fonds marins. Louise m’a rejoint rapidement, elle s’équipe et se colle sur mon dos tel un poisson-pilote. Elle adore que je la traîne comme cela frottant sa poitrine contre mon dos. Une vraie coquine ma Louise chérie. Sophie s’assure de son côté que le bateau ne bouge pas et nous rejoint à l’eau. Elle nous invite à la suivre pour nous faire voir une zone de ...