Quelques jours à la voile - Histoires de Sexe

Quelques jours à la voile

... pensais pas dormir de bonne heure, lui réponds-je en riant, mais Louise s’est endormie comme une masse. Ceci dit, j’apprécie aussi d’être là à fumer cette cigarette à tes côtés.— Merci, me répond-elle. Nous restons quelques minutes dans l’obscurité, juste éclairés par la lune gibbeuse à admirer ce spectacle merveilleux de l’astre lunaire qui se reflète sur les flots et des étoiles qui emplissent le ciel de ce début d’été. — Veux-tu te baigner, Serge ? me demande Louise soudainement.— Oui, pourquoi pas ? Je ne me suis jamais baigné la nuit en pleine mer, ce sera une première pour moi.— Ah, super ! Tu vas voir, c’est très agréable, très étrange comme sensation d’être ainsi plongés dans l’obscurité.— Très bien, j’ai hâte d’y être. Je vais chercher mon maillot et je reviens.— Un maillot ! Pour quoi faire, il fait nuit non ? Un bain de minuit se prend tout nu, c’est ainsi, me répond Sophie sur un ton qui n’accepte pas de contradiction. Elle joint alors le geste à la parole, se lève et se dévêt devant moi. Malgré la faible luminosité, je distingue très bien ses formes parfaites qui se dessinent juste éclairées par les rayons lunaires. — Allez Serge, je t’attends ! Je me lève face à elle et lentement j’ôte mon tee-shirt, mon short et mon boxer. Je me rends alors compte que mon sexe a une vitalité que je ne peux contrôler. Sophie s’en aperçoit et me dit : — Je vois que tu es en forme Serge, tant mieux ! Allez, à l’eau matelot. Nous nous rendons à l’arrière du bateau pour nous ...

... mettre à l’eau, Sophie commence à descendre à l’échelle, je suis juste derrière elle. Elle se retourne et son visage se trouve à quelques centimètres de mon sexe qui n’a pas perdu de sa vigueur. Elle lève la tête, me regarde puis lentement commence à caresser mon sexe d’une main ferme et délicate. Je m’accroche au bastingage. — Vas-y, lui dis-je. Elle ne me répond pas et donne un petit coup de langue sur ma queue un peu plus gonflée par la pression de sa main. Ses coups de langue s’accentuent sur toute la longueur de ma hampe. Puis, elle entreprend maintenant de l’avaler. Le gland d’abord, qu’elle prend en bouche tout en faisant tourner sa langue, la sensation est exquise de se faire sucer par cette femme sublime que je ne connaissais pas quelques heures plus tôt. C’est tout mon sexe qu’elle avale maintenant, ses va-et-vient me procurent une sensation merveilleuse de bien-être. Soudain elle cesse et se jette à l’eau. — Allez, Serge, rejoins-moi ! Je ne me fais pas prier et plonge à mon tour. Je la rejoins et instinctivement, nous nous rapprochons l’un de l’autre. Nos corps s’enlacent, nos bouches s’entrouvrent, nos lèvres se touchent, nos langues s’emmêlent. Je ne me rends même pas compte de la fraîcheur de l’eau. En appui contre l’échelle du bateau, Sophie de ses jambes encercle mes hanches. Je m’accroche à elle et la pénètre aussitôt. Ainsi plongé, je n’ai aucun appui, je m’accroche alors à l’échelle pour ne pas couler, ne pas sombrer et surtout continuer à la limer. Bien calé ...