elle 20 ans, lui 70 ans... (3)
Datte: 05/04/2018,
Catégories:
Erotique,
... Elle me demanda comment j’allais, des nouvelles de mes parents et se comportait comme si rien ne s’était passé entre nous lors des vacances. Le manteau enlevé, elle portait une magnifique robe avec un décolleté discret. Parfumée, soigneusement maquillée et habillée avec élégance, j’avais du mal à croire qu’elle venait simplement pour discuter avec moi. Dans la conversation, elle ne m’a pas caché qu’elle savait que j’étais seul. Elle n’a pas joué celle qui venait voir mes parents. Mais elle se comportait comme elle le faisait quand son mari ou mes parents étaient présents. Je lui avais demandé ce qu’elle voulait boire : — Ton père a un excellent vin blanc. — Lequel ? — Je ne sais pas… Dit-elle en éclatant de rire. Elle était très séduisante et son rire était charmant. J’ai répondu à son rire par un petit sourire. — Mais je suis certain que tu sauras en trouver un dans la cave de ton père… il n’a que des bon vins. La bouteille ouverte, elle avança mon verre et pris le sien. — A nous et nos souvenirs ! Dit-elle en me regardant droit dans les yeux. Puis, elle reprit sa conversation sur un ton mondain. Elle parla de mes parents, puis de son mari qui était donc parti pour quelques jours en formation je ne sais plus où. C’est ainsi qu’elle est venu à parler de leur couple. Elle n’avait jamais connu d’autre homme avant lui, même pour un simple flirt. Il avait attendu le jour de leur noce pour lui faire l’amour et la dépucelée. Elle s’était mariée vierge, aujourd’hui, cela peut ...
... paraître étrange ou du moins inhabituel mais cela était beaucoup plus fréquent, et même la norme à l’époque. Son verre terminé, je lui en ai rempli un autre et complétait le mien que j’avais à peine touché pour ne pas la gêner. Elle but une gorgée et continua ses confidences. — Jamais avant cet été, je n’avais… fait ce que j’ai fait… Me dit-elle en rougissant un peu. — Enfin, tu as compris ce que je veux dire ! — Oui j’avais très bien compris… Et je comprenais aussi la nature de sa visite. Elle avait attendu que je sois seule et sans risque de voir arriver son mari ou mes parents pour me dire qu’elle avait fait une folie, qu’elle regrettait et certainement dire que cela devait s’arrêter là et rester notre secret. Mais j’étais devenu écarlate et je ne savais pas quoi répondre. Devant mon mutisme et ma gêne, elle posa sa main sur la mienne. Son geste n’était nullement sexuel mais tendre. Celui d’une amie, voire d’une mère pour son enfant. — Tu as dû me trouver très « salope » Finit-elle par dire… — Non, non, je vous assure… J’employais le « vous » comme je le faisais en présence de mes parents. Elle me regarda affectueusement avec un petit sourire triste. — Au contraire, j’ai beaucoup d’estime pour vous, je vous apprécie… Son sourire s’illumina un peu et ses doigts caressèrent machinalement le dos de ma main. — Oui je vous apprécie et aussi ce que vous avez fait. J’étais rouge de honte, mais je ne voulais pas qu’elle culpabilise à ma place… — Et c’est moi le fautif. lkmlttpq Elle me ...