Paroles d'auteurs - 2
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
méthode,
nonéro,
... rapprochements des corps. » « L’apprentissage. » « Challenge, envie de dépasser ses limites, de faire des choses différentes. Inspiration d’autres auteurs, aussi. » « Il m’a fait rencontrer des correcteurs qui m’ont permis d’affirmer mon style, de le développer, et pour ça, un grand merci. » « Une amélioration du style et des idées d’histoire. » « Il l’a développé, il m’a fait prendre conscience que finalement j’étais pas pire que d’autres ! Par contre, il ne me fait pas me prendre au sérieux. Je ne suis pas un écrivain mais un scribouilleur au mieux un raconteur d’histoires. » « J’ai commencé à écrire grâce à Revebebe. Avant, on m’avait dit que j’étais nul en français. » « Sans Revebebe, je n’écrirais sans doute pas. » « J’ai commencé grâce à ce site. » « Aucun non plus. J’écrivais avant, j’écris toujours. J’écris des textes érotiques et des textes qui ne contiennent pas une goutte d’érotisme. » « Aucun, j’écrivais sans Revebebe, j’écrirais sans lui, c’est indépendant. » « J’ai écrit avant de connaître Revebebe, je continue et seuls Alzheimer ou la mort me feront arrêter, j’espère. » « Je ne sais pas… je suis auteur d’autres textes, d’articles de presse, pas du tout dans le même style ! » « Quand je trouve des textes flamboyants, merveilleux (comme ceux de ***, pour ne pas le citer, ou bien ***), j’éprouve une émotion très forte. Certains ici sont des guides pour mon écriture, une sorte d’idéal à atteindre, et c’est très motivant d’essayer de suivre leurs traces ! D’autres ...
... textes m’apportent des "détails techniques", que je collectionne dans ma boîte à outils de termes et descriptions sexuelles (c’est très utile, mais je ne prends que le meilleur - les termes gnangnans m’agacent, là-dessus, j’aurais plutôt une approche à la Esparbec, pour ceux qui connaissent). L’imitation (et non le plagiat) est la seule voie vers l’excellence. Même pour les auteurs reconnus de la littérature classique… Alors, pour les "petits" dans mon genre, pourquoi se priver ? Enfin, il y a la grande masse des textes "contre-exemple". Je les lis parfois pour m’entraîner à relever toutes les fautes, de style et de goût, les incohérences, toutes ces "malfaçons" dans l’écriture du quidam moyen que je ne veux plus commettre moi-même. À ce sujet, on ne peut pas toujours opposer "porno" et "érotique". Certains pornos sont très bien écrits, enthousiasmants, avec un réel souci de divertir le lecteur, et parfois une morale à la clef (les exceptions qui confirment la règle ?). Certains érotiques sont bâclés, avec des personnages absolument pas crédibles, traînent en longueur, sont cucul, etc. Bref, ce n’est pas tant le genre du texte qui compte, mais bien le talent de celui qui l’écrit. Je me suis d’ailleurs amusé dernièrement à commettre un porno "pur et dur", sans tomber dans la facilité, en essayant d’y mettre de l’humour, et le texte a été très bien accueilli, y compris par des critiques n’aimant pas le porno (d’après ce qu’ils disent…). » La dix-neuvième question était celle-ci ...