Méli-Mélo, enfin du cul...
Datte: 06/04/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Soleil filtrant sur les côtés du rideau. Je me réveille. Enfin, non, "on" me réveille. Une boule de fourrure sombre balaye ma poitrine et repousse la couette vers le bas. Elle s'attarde sur mes tétons, les suce, les aspire. Une main chaude est sur mon ventre, puis une autre à ma taille. Il est tard. L'iPhone n'a pas sonné. Normal, on est dimanche. Je referme les yeux et je reste allongé sur le dos encore un peu endormi. Les mains sont descendues symétriques sur mes hanches. La bouche chaude et humide est sur mon nombril. Une langue pointue s'introduit dans la cuvette plissée puis passe son chemin. La chevelure agace mon pubis et chatouille mes poils. Je reste inerte, immobile, abandonné. Je sais ce qui va arriver. En plus je me dis, ça craint. Je pense avec inquiétude aux deux incisives blanches. Je pense à ces gros engins de chantier, Liebherr, Cat, JCB, jaunes avec le scraper sur le devant. Heureusement, mon engin à moi est au repos. Tendre et recroquevillé. Modeste en dimension. Sa bouche aux lèvres rouges ... je suis dans mon imaginaire ... se pose sur le prépuce. Je sens le chaud je sens le mouillé. Ses lèvres ont pris le petit bout de chair comme on prend le corktype d'une Craven. Puis elle a aspiré. Les peaux se sont retroussées et c'est le gland tout entier qui est venu à sa bouche, dilatant le muscle labial, forçant l'ouverture buccale. Sa langue, douce et râpeuse à la fois a fait aubade, caresse enveloppante. L'obstacle de ses dents de devant avait été passé sans ...
... séquelle apparente. Les deux mains avaient contourné mes fesses et étaient à présent crispées sous mes cuisses et tiraient pour les relever. Mon bassin a basculé en avant sur l'invite et son front poussait, chaud, sur mes couilles. Quelques uns de ses cheveux venaient entre mes cuisses agasser mon petit trou. Ma verge molle était maintenant entièrement happée par son gosier et je sentais le contact de sa luette sur l'extrémité de mon gland. Les dents que je craignais tant était maintenant en contact léger de la racine du bitos, au pubis. Bien entendu, qui dit bitos, dit que très vite la chose a pris son expansion et que, passée la luette, le gros gland gonflé de sang s'est aventuré à la glotte et y a trouvé, dans les mouvements de déglutition rythmiques qu'elle pratiquait, épanouissement jouissif. Souvent, alors, les filles s'échappent. Celle-ci, point. Elle m'a gardé entre langue et palais pour recueillir avec ferveur tout ce que je donnais. Et le boire sans en rien perdre, rien. Moi j'avais, à portée, ses fesses. Ma main les a caressées. L'une, l'autre puis le creux d'entre elles. Elle appréciait et cambrait son postérieur en invite à poursuivre. Ses fesses étaient douces étaient lisses. Ses cuisses étaient fines. Et ma main parcourait sa peau, légère et veloutée. Elle appréciait cette réciprocité et je sentais son appétence à plus encore de proximité. Je sentais cela à une légère vibration de sa tendre intimité et à une sorte de crispation que celle-ci avait à l'encontre de ...