1. Mon bel étalon (8)


    Datte: 06/04/2018, Catégories: Zoophilie,

    Elle se jette sur moi pour m’embrasser, je l’enlace, mais mains descendent machinalement vers le bas de son dos et passent sous sa jupe pour tomber sur ses fesses nues, j’avais oublié. Je me dégage. –Si tu viens en jupe au boulot, tu ne mets rien sous ta jupe ? –Exactement, je t’ai dit que je ne supportais pas les sous-vêtements, mais pour l’instant, je vais m’habiller comme avant, je dois acheter des fringues plus conformes, je n’ai que des jupes ou des robes courtes, qui de toute manière sont restées à Mirepoix. J’aimerais bien que tu m’accompagne pour acheter mes fringues. –Bien sûr que je t’accompagne, je ne voudrais pas que tu achètes des fringues de mémé. –Ben-voyons. Elle me prend par la main et m’entraine vers sa chambre. Elle a un lit rond qui occupe pratiquement toute la chambre. Elle se tourne vers moi et commence à me déshabiller. Je veux l’aider mais elle m’arrête. –Laisses moi faire. Elle m’enlève mon tee-shirt, mon pantalon, me pousse sur le lit pour finir par les chaussures et les chaussettes. Je veux me redresser pour m’occuper d’elle, mais elle me repousse. –Ne bouges pas. Elle commence une dance langoureuse et se déshabille en ma faisant un petit strip-tease. Je découvre une autre Céline, plus aguicheuse, plus provocatrice, ce n’est pas pour me déplaire. Décidément cette fille est assez déconcertante, avant ce week-end, j’aurais parier que c’était une fille rangée qui allait voir ses parents tous les mois, qui rentrait chez elle tous les soirs. Je la ...
    ... croyais lesbienne alors qu’elle ne l’était pas, c’était juste pour qu’aucun autre homme que moi ne la touche, alors que j’étais ouvertement gay. La seule chose qui aurait pu m’alerter, c’était ses tee-shirt et sweet qui étaient en général très décolletés et ne cachaient pas grand-chose de sa superbe poitrine toujours nue, mais c’est la mode. Une fois nue, elle se jette sur moi. –Un petit câlin, juste un câlin, je veux sentir ta peau contre ma peau. Elle me caresse, je la caresse, mais ça ne pouvait pas en rester là, ma bite se redresse sous l’effet de ses caresses. Elle embrasse mes joues, mon cou, mes épaules, mon torse, mon ventre pour arriver sur mon pubis où se dresse ma bite bien raide. Je vois ses fesses venir vers ma tête. Sa bouche finit par arriver sur mon gland et sa langue le lèche. Ses lèvres s’en empare et l’enveloppe. Doucement elles progressent vers mes testicules et finissent par me gober entièrement le vit. Ses hanches sont à côté de ma tête, je vois son sexe briller. Je fais passer sa jambe gauche par-dessus ma tête et me retrouve sous son sexe luisant de cyprine. –Tu n’es pas obligé. –Je sais. Je pose mes mains sur ses fesses et fais descendre son sexe vers ma bouche. Je l’immobilise à quelques centimètres de mon visage. Une odeur douce et animale titille mes narines. C’est la première fois qu’un sexe de femme se trouve si près de ma bouche. Je vois l’entrée de son vagin se contracter et se détendre, comme un appel. Je tire un peu plus sur ses fesses et reçois ...
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