1. Un travail parfait ? (Sissyfication) (Ep. 1)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... qui a trait au personnel, il faut que les gens vous visualisent, s’ils doivent venir vous parler pour un problème ou autre. C’est une place pas facile que la vôtre, entre les boss et le personnel… pas facile…Il se leva pour partir, mais se ravisa…- … un poste pas évident, vous savez. Il y a beaucoup de gens qui ne tiennent pas à cette place, le turn-over est le plus important de la boîte… et votre prédécesseur n’a pas tenu longtemps…- Ne vous inquiétez pas, c’est gentil, mais je sais gérer…- … il s’est jeté par cette fenêtre, là, il y a deux mois… pouuuuuf, une chute de 45 étages… oui, je m’inquiète. Beaucoup de gens s’inquiètent. Les patronnes… elles sont canons… mais bizarres… et peu tiennent le coup à leur côté… Allez, j’ai assez abusé de votre temps, à tout à l’heure Pierre !J’acquiesçais de la tête. J’avais l’intuition qu’il était venu pour me mettre en garde. Quelques minutes plus tard, Nancy et sa sœur Kimberly entrèrent dans le bureau, en grande conversation au sujet des chances qu’avaient le dollar de surclasser l’euro à la bourse. Kimberly me toisa une nouvelle fois de haut en bas, parlant à sa sœur comme si je n’étais pas là.- Il est encore là lui ? Il a tenu plus de quatre jours ?- Et oui ! C’est un bon, j’avais bien flairé l’affaire.- Un bon ?Elle appuya sur le mot, me dévisageant autrement. Avec curiosité.- Exactement ! Et je pense qu’il sera prêt pour la convention de New York…- On verra ça, tu avais pensé cela pour l’autre, et tu as vu comment ça c’est fini. ...
    ... Bon, je te laisse, Noemy veut me voir, à propos de l’autre qui veut racheter nos parts dans notre société d’Afrique du Sud.- Une O.P.A. ?- Il va essayer, oui. Il faudra le mettre hors d’état de nuire avant… - elle s’était soudain rappelle que j’étais dans la pièce - bon, je file, je te raconterai ce soir. Noemy voudra sans doute te voir après, pour que tu lui raconte tes… progrès.Elle me jeta un dernier regard, qui semblait m’évaluer, puis sortit, sans même me saluer. Nancy s’approcha de moi et posa sa main sur mon bras.- Pierre, chéri, je sais que demain on est samedi, mais j’aurai vraiment besoin de vous. Vous pourriez venir au bureau pour 15h ?Ses yeux se plantaient dans les miens. Elle était si belle. Le milieu de sa poitrine montait et descendait au rythme de sa respiration, son parfum était entêtant, des images de sa fellation me revenait sans cesse en tête… tandis qu’elle sourit, je ne pus qu’articuler, rougissant,- Bien sûr Nancy !Elle déposa un baiser sur ma joue et alla dans son bureau. Quel était ce pouvoir qu’elle avait sur moi ? C’était si fort… dès qu’elle s’approchait, mon cœur et ma respiration s’accéléraient, je rougissais et transpirais des mains… Et quand elle plantait son regard magnifique dans le mien, ou son parfum sublime dans mes narines… je ne pouvais plus penser, à rien, sauf à elle ! Etait-ce dû à sa beauté ? Etais-je amoureux ? Autre chose me troublais. J’étais certain maintenant d’avoir une bosse d’excitation au niveau de son entrejambe… était-ce ...