1. Un travail parfait ? (Sissyfication) (Ep. 1)


    Datte: 07/04/2018, Catégories: Anal Gay Transexuels

    ... descendit lentement le long de mon sexe bandé, avant de remonter, puis de redescendre… sa langue travaillait autour de mon gland, puis elle reprenait ses va-et-vient, alternant les deux, de plus en plus vite… Je trouvais les proportions de mon sexe pas trop petit (plus ou moins 17 cm sur 4/4,5 de largeur), et elle prenait le tout dans sa bouche, sans soucis… pour elle ce n’était pas une première, assurément !Je n’arrivais plus à penser, ni à parler. Je n’avais jamais connu cette sensation, mon sexe dans une bouche chaude et humide, le jeu des lèvres sur ma hampe, de sa langue sur mon gland… assez vite il se cabra dans sa bouche… une fraction de seconde j’eus une étrange sensation, comme quelque chose de dur contre ma jambe qui n’aurait pas dû être là, mais mon éjaculation m’arracha à cette sensation bizarre…- Attention, je… je vais…Mais elle savait très bien ce qui se passait, accélérant sa fellation pour me faire venir… je jouis en gémissant, emplissant sa bouche de mon foutre… elle avala le tout, sans ciller, se pourléchant les lèvres après… puis elle vint s’asseoir sur me genoux et me donna un baiser passionné. Nos langues se mêlèrent, la sienne goûtait mon propre sperme !Puis elle me tapota gentiment la joue, et alla s’asseoir sur sa banquette, de nouveau en face de moi.- Je pense que nous sommes arrivés !Ses yeux étaient toujours rieurs, je n’avais même pas remarqué que la voiture s’était arrêtée. Elle ouvrit la portière, tandis que je réarrangeais ma tenue, et en ...
    ... quelques secondes je fus sur le trottoir, en face de mon immeuble. La portière de la voiture claqua, et après quelques instant la vitre de son côté s’abaissa.- L’adresse des bureaux est sur ma carte de visite. Soyez-y demain à 8h00 précise. Et surtout, soyez à l’heure, j’ai horreur du manque de ponctualité.Elle me fit un clin d’œil ravageur, puis la vitre se referma tandis que la voiture redémarrait et avança dans la rue, avant de disparaître au carrefour suivant. J’étais là, tout penaud, sur le trottoir. Me demandant encore si je n’avais pas rêvé. Et avec une autre étrange sensation. Comme celle de m’être bien fait avoir. Pourtant tout cela semblait si intéressant…J’haussais doucement les épaules. A chaque jour suffit sa peine, on verrait bien le lendemain. Et au moins, j’aurais connu cette divine sensation de se faire sucer par une superbe créature au moins une fois dans ma vie !Je triturais la carte de visite dans ma main, nerveusement. Le building était là, face à moi. Mais j’hésitais encore, toujours cette étrange sensation, ce doute. Il était 7h50 et j’étais au centre-ville, dans le chic quartier des affaires. Face à moi un building tout de verre, d’au moins une quarantaine d’étage… si pas plus. C’était énorme !Après encore quelque secondes d’hésitation, j’entrais. Le hall était grand, avec du verre partout, qui permettait de voir tous les étages, jusqu’en haut, où l’on pouvait voir le ciel, ainsi que les deux ascenseurs transparent qui montaient et descendaient. Tous les ...
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