Pierre en mission
Datte: 07/04/2018,
Catégories:
h,
hh,
extracon,
Collègues / Travail
bateau,
hsoumis,
hdomine,
contrainte,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
Masturbation
massage,
Oral
hsodo,
sm,
fouetfesse,
... un peu gêné car le pantalon ne cache rien de mes formes. Il faudra que je m’y habitue. Le petit déjeuner est vite expédié. Lucio m’accompagne chez le commandant. Je suis impressionné par le luxe de la cabine. Les parois sont recouvertes d’acajou, des rampes en cuivre jaune contribuent à ce luxe. Le commandant est assis derrière son bureau, il se lève dès notre entrée. — Bonjour, messieurs ! Le ton de sa voix indique clairement l’homme d’ordre qui ne doit pas accepter la contradiction. — Allons droit au but. Je ne vous cache pas que je suis surpris par l’audit demandé par la compagnie. Lucio vous fournira les documents dont vous aurez besoin. Je ne doute pas que les conclusions de votre rapport mettront l’accent sur la bonne gestion de ce navire. En tout état de cause, vous me les remettrez avant de les transmettre. Sur ce navire, c’est moi qui commande. Les passagers vont arriver, et vous avez tout comme moi du travail. Au revoir, messieurs. L’entretien n’avait duré que quelques minutes et j’avais reçu cinq sur cinq la colère du commandant au sujet de ce contrôle. Avait-il quelque chose à cacher ? Après m’avoir fait visiter le navire, Lucio m’abandonne à la comptabilité : on se retrouvera à midi pour déjeuner. Il m’avait ouvert tous les placards, mettant les dossiers à ma disposition. Midi. Je me poste devant le hublot et regarde les derniers passagers embarquer. Je me surprends à passer mes mains sur mes fesses. Le départ proche accentue le sentiment de liberté que ...
... j’éprouve depuis mon départ de Marseille. Mon sexe entre en érection mais est comprimé dans ce pantalon blanc trop serré. Poursuivant mes caresses, je n’entends pas la porte s’ouvrir derrière moi. — C’est l’heure, on va manger ? Je sursaute, pétrifié de honte. C’est Lucio. Depuis combien de temps est-il là ? Je reste tourné vers le hublot, attendant que mon sexe reprenne des proportions convenables. — Oui, on y va… Je regardais les passagers monter, bredouillè-je.— Il y a de belles femmes ? Cette interrogation m’enlève la boule que j’ai au fond de la gorge, je reprends mes esprits. — Pas mal, mais je crois qu’elles sont accompagnées. On va manger ? J’affronte le regard de Lucio et je comprends, à la malice qu’il dégage, qu’il n’est pas dupe et qu’il m’a vu me caresser. L’après-midi est pour moi un enfer. Lucio sort les dossiers que je lui demande, un à un. Quand je lui demande une explication, il se penche au-dessus de moi, je sens son odeur de mâle qui s’accentue au fur et à mesure que les heures passent. J’interprète chacun de ses gestes comme une invitation charnelle. S’il se lève, il remonte son entrejambe généreux, s’il relit une facture, il se caresse les poils du bras gauche. Mais c’est sa langue surtout qui m’interpelle, elle passe régulièrement sur ses lèvres pour les humidifier. J’ai vraiment l’impression qu’il s’agit d’invites. Lucio me draguerait-il ? Bientôt 18 heures 30. Pour une dernière explication, Lucio se lève, comme à son habitude, il se saisit de son sexe, mais ...