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Y prendre goût (1)
Datte: 18/06/2017, Catégories: Hétéro
... ‘J’espère que tu as profité mais c’était la seule et unique fois’. La suite me donna tort. A peine quelques jours après, alors que je venais de me mettre au lit, fatigué de ma journée, je fus rejoint par mon épouse qui finissait de regarder une émission à la télévision. Elle éteignit la lumière et je sentis très vite une main douce sur mon sexe. Je pensais qu’elle avait envie de sexe mais elle débarrassa mon corps du drap. Je sentis alors qu’elle s’installait le long de ma jambe, ses seins de part et d’autre de ma cuisse et son sexe posé sur mon pied. Par la moiteur de son sexe sur mon pied, je compris qu’elle était bien excitée. Alors que je commençais à le bouger pour la caresser comme je pouvais, je sentis sa bouche s’emparer de mon sexe. Elle commença une douce fellation. Même si elle n’était toujours pas douée, elle s’était un peu améliorée depuis la première fois. Je sentais que sa langue tournoyait autour de mon sexe avec douceur. Sa main caressait la hampe de mon sexe bien dur et mes couilles qui se remplissaient d’envie. Changeant de temps en temps, je sentais mes lèvres monter et descendre le long de mon sexe l’enfermant tendrement mais fermement entre sa langue et son palais. Elle se débrouillait vraiment bien mieux que la première fois. Voulant profiter au mieux de cette caresse, je tentais par tous les moyens de retenir ma jouissance. Cet exercice était des plus compliqué surtout que je sentais le sexe de mon épouse trempé contre mon pied. « Tu veux… que je te ...
... prévienne quand… je… viens ? Demandai-je. — Non. Dans ma bouche, comme la dernière fois. » Cette réponse eut très vite raison de mes dernières résistances. Ne retenant plus rien, je me vidais littéralement entre les lèvres de mon épouse. Des saccades de sperme s’échappaient de mon sexe pour aller à la rencontre de la langue de Carla. Lorsque je repris mes esprits, je m’aperçus que mon épouse était toujours couchée sur ma jambe et que mon sexe était toujours dans la bouche de celle-ci. Tendrement, elle remonta le long de mon corps pour venir se coucher à mes côtés. « De plus en plus délicieux, me susurra-t-elle à l’oreille. » Je voulus lui donner autant de plaisir qu’elle venait de le faire et j’ai envoyé ma main vers son sexe. « Non merci, c’est inutile, me coupa-t-elle. — Tu m’as bien fait plaisir. C’est à mon tour de te faire décoller, non ? — C’est inutile, c’est déjà fait. En même temps que toi, mon amour. » Et le sommeil nous prit. Quelques jours plus tard commencèrent les vacances d’été. Les enfants devaient partir en colonie pendant quelques jours puis finir les vacances chez ma mère et mes beaux-parents. Aussi, j’avais pensé et osais espérer que ces vacances seraient signe de sexe pour Carla et moi. Et je ne fus pas déçu. A peine rentrés après avoir mis les enfants dans le bus, Carla prétexta vouloir se mettre à l’aise à cause de la chaleur. Elle revint un tout petit peu plus tard nue comme un ver. « Ma tenue te convient ? Me demanda-t-elle. — Oui. Mais tu comptes ...