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Ma collègue Christine
Datte: 07/04/2018, Catégories: fh, fplusag, Collègues / Travail poilu(e)s, toilettes, Oral préservati, fsodo,
... Elle me caresse la tête, me la maintient contre son pubis. Mon nez est chatouillé par ses poils. Elle gémit de plus en plus fort, se cambre. Puis, sans prévenir, elle resserre les jambes sur ma tête. Je suis prisonnier. Je sens qu’elle est prise de spasmes. Elle jouit sous ma langue. Je sens sa liqueur sur ma langue. Je ne bouge plus. Elle non plus. Pendant qu’elle reprend ses esprits, je me redresse et sors mon sexe de sa prison. Il est fier et tendu. Je le présente devant sa bouche. — Non, je ne suce pas… Elle voit dans mon regard ma déception. Je pensais qu’une femme comme elle serait une sacrée suceuse. Sans me laisser le temps de réagir, elle se lève à son tour et se met en levrette sur les toilettes. Je pense que le message est clair. Je sors un préservatif de ma poche et l’enfile sur mon sexe gonflé de désir. Je l’attrape par les hanches et me présente à l’entrée de son minou trempé. — Non, pas par là… Décidément, c’est la journée des douches froides. Je n’ai pas le droit non plus de goûter à cette grotte d’amour. Je suis déstabilisé et ne bouge plus. Sentant mon trouble, elle attrape ma verge par derrière et la pose sur sa petite rondelle. Je ne peux que comprendre ce qu’elle veut : allons-y pour la sodomie ! Je pousse, cela résiste un peu. Mais rapidement le sphincter cède sous la pression. Je vois mon gland qui disparaît dans cet orifice. Il semble aspiré. Vu ...
... comment il entre, je pense que je ne suis pas le premier à entrer dans son cul. Christine pousse des petits cris au fur et à mesure que j’avance. Nous risquons de nous faire repérer. Je sors son string de ma poche et je lui mets dans la bouche pour la bâillonner. Je vois ses mains se crisper lorsque mon sexe investit complètement son fondement. Ça y est, je suis entré à fond. Ses fesses frottent contre mon ventre. Je ne bouge plus, savourant ce moment et lui permettant de se dilater un peu. Je suis tellement excité que je sens que je ne pourrai me retenir longtemps. Je commence donc à faire des allers et retours dans ses fesses. Christine mord son morceau de tissu. Elle pousse des petits gémissements. De mon côté, je sens que le passage est de plus en plus facile… J’accélère le rythme. Je sens que je vais jouir. Une dernière poussée sauvage et je sens que je viens dans le préservatif. Je le dis à Christine, et je sens que son anus se contracte sur mon sexe. Des contractions rapides et violentes. Elle jouit en silence. Sans rien dire, je me retire. Je vois son anus ouvert. On ne dit rien. Christine est toujours en levrette. Elle ne bouge pas. Je retire le préservatif. Je sors des toilettes discrètement. Nous n’avons jamais évoqué la chose depuis ce jour, avec Christine. Mais grâce à elle, je peux dire que j’ai enculé une de mes collègues dans les toilettes. Un super souvenir.