Séquestration
Datte: 07/04/2018,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Inceste / Tabou
... captif un mouvement de va et vient pour une fellation de ses pieds. Bien sûr elle ne voulait en aucun cas sentir le contact de ses dents et un coup de poing dans les couilles lui rappelait à chaque fois de faire attention.En temps normal, il aurait adoré l’odeur de ce pied chaud dans sa gorge, mais là il n’en pouvait plus. Tout son corps lui faisait mal et la position lui faisait en outre monter le sang à la tête.Elle enleva son pied, et laissa le captif ainsi suspendu. Longtemps, très longtemps, plusieurs heures. Les deux femmes avaient disparu et il ne les entendait plus.Puis elles revinrent. Il vit alors la Maîtresse se saisir d’un long fouet, et sans mot dire, commencer à le fouetter avec frénésie. Il tournait sur lui-même et se balançait à mesure des coups de fouets et de la lanière qui s’enroulait sur lui, comme une toupie ou un pantin. Elle frappait et la lanière s’enroulait tantôt sur le torse, tantôt sur les jambes, lui mordant souvent le sexe et les fesses. Il n’en pouvait plus et perdit connaissance.Chapitre 5Il reprenait progressivement ses esprits. Il se sentait comme dans du coton. Il s’éveillait puis perdait de nouveau connaissance. Il avait l’impression d’être dans un lit. Les intermèdes de conscience devenaient plus nombreux et son esprit s’éclaircissait petit à petit. Mais oui, il était bien dans un lit. Qu’est ce qu’il faisait là ? Avait-il eu un accident ? Ou peut-être avait il fait un mauvais rêve ?Il entendit la porte s’ouvrir et aperçut vaguement la ...
... silhouette d’un homme en blanc qui venait l’examiner, forçant l’ouverture de ses paupières et l’aveuglant avec une lampe de poche.L’environnement devenait plus net. Il était dans ce qui lui sembla être une chambre d’hôpital. Un lit, une table de nuit, un fauteuil, une télévision murale, des murs blancs.Il ne comprenait rien à ce qu’il pouvait faire là. Il essaya de bouger mais se rendit compte qu’il était attaché aux montants de lit par les chevilles et les poignets. Il était totalement nu.La porte s’ouvrit de nouveau et il vit la Maîtresse entrer. Elle tenait un ordinateur portable à la main.« Et bien esclave, j’ai cru que tu ne t’éveillerais jamais ! ».Le visage ahuri du captif la fit rire. Elle vient s’asseoir sur le bord du lit.« Tu te demandes sans doute ce que tu fais là ? Et bien sache que j’ai de bonnes, et de mauvaises nouvelles pour toi. Par lesquelles veux tu que je commence ? Encore que bonne ou mauvaise n’est qu’une question du point de vue selon lequel on se place !...Ne dit on pas que le bonheur des uns fait le malheur des autres…Commençons par le commencement, et laisse moi d’abord t’expliquer qui je suis et où tu es ».Elle lui expliqua son statut de diplomate, le détail de ses activités parallèles, les réseaux qu’elle alimentait et l’argent qu’elle en retirait.Il se sentait hébété, groggy. Il n’était pas certain de comprendre tout ce qu’elle lui disait. Il comprenait toutefois avoir été piégé. Il était important pour elle qu’il le comprenne car après l’avoir ...