1. La vie intime de Madame du Tronchay (4)


    Datte: 08/04/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme

    C’est aujourd’hui dimanche. Point de robe blanche mais un bel habit sombre. Rasé de près j’ai décidé, pris par une soudaine envie mystique, de me rendre à l’office dominical célébré en la paroisse Saint Germain de Tronchay. J’arrive juste à l’heure. Quelques têtes chenues ça et là et bien sûr au premier rang des fidèles Monsieur Hubert du Tronchay, accompagné de sa charmante épouse. Je me glisse dans la nef et me positionne à leur hauteur, de l’autre côté de la travée. Madame est charmante, sagement drapée dans une robe sombre. On lui donnerait le bon Dieu sans confession tant elle semble austère. Fervente, elle s’agenouille, se relève, chante des louanges, communie, la parfaite petite bigote. Qui ne l’aurait vu hier soir dans ses errements charnels ne pourrait se douter que la baronne a le feu au cul. La messe s’achève et je vais saluer le baron et sa femme sur le parvis. Lui se montre mondain à son habitude et elle toujours aussi froide et distante. Si tu savais ce que je sais sur ton compte, ma poulette... Je demande au baron s’il est content de mon travail. Il me dit qu’a priori oui mais qu’il n’a pas eu encore l’occasion d’utiliser mon système de surveillance. C’est ce qui fait toute la différence avec moi, qui en ait abusé ces derniers temps. Avant de me quitter Hubert du Tronchay me fait savoir que lui et sa femme vont aller passer quelques jours dans leur résidence de la Baule et qu’il aura ainsi l’occasion de s’en servir. Avant de nous séparer je lui propose mes ...
    ... services pour protéger sa résidence secondaire. Il me remercie mais m’indique qu’il dispose sur place d’un gardien, Aimé, qui ne trouvant pas de logement en quittant la Guadeloupe pour s’installer en métropole, a été fort heureux de bénéficier de la garde de leur villa. Tiens donc, encore une coïncidence. L’univers de la baronne est décidément bien sombre. La semaine qui suivit me permit, du fait de son absence, de mettre quelque peu à distance mes pulsions compulsives pour la baronne. Sans plus, épisodiquement des images continuaient à surgir de ma mémoire. Et puis j’avais les enregistrements de ses frasques quand le manque devenait trop cruel. Le dimanche suivant, dans l’après midi, un bip sur mon portable m’avertit de mouvements dans la demeure du baron. J’ouvris l’application qui me renvoya l’image du couple avec ses valises dans l’entrée du manoir. Chic! Hélène était de retour. Je passai le reste de la journée à attendre. J’étais devenu cinglé de cette bourgeoise en chaleur. J’attendis 22 heures pour me connecter. C’était un peu trop tôt. La vieillesalope, dans son peignoir rose favori achevait un film à la télé. Je constatais, à la faible lueur de sa liseuse, que son mari dormait à poings fermés. Je pris une bière et me plongeai dans résultats et commentaires sportifs du weekend. Ça y est! Le détecteur du bureau d’Hélène du Tronchay vient de se déclencher. Je plonge sur l’écran. Le cérémonial change. La baronne s’assied devant son bureau, nue comme un ver. Elle ouvre MSN et ...
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