1. Suite des amours de Balou


    Datte: 08/04/2018, Catégories: fh, plage, Oral pénétratio,

    ... le port. Ils achetèrent un peu de poisson et des légumes. Plusieurs personnes s’arrêtèrent pour les saluer et discuter avec eux, surtout avec Angela qui connaissait presque tous les habitants du village. Vers midi ils s’installèrent au comptoir du seul café existant pour prendre un verre. Evidemment toute la faune locale s’y retrouvait en ce jour de marché. Les discussions allaient bon train. Accoudé au bar, Balou laissait vagabonder son regard. Des mères de familles et leur marmaille, des vieux messieurs, le mégot collé au bec, un vieux beau avec son écharpe de soie et stetson, de jeunes garçons et filles, des pêcheurs et des ouvriers, constituaient une palette représentative des habitants. Le café était bruyant, ça courait dans tout les sens. Balou ne parlant pas italien, il se retrouva vite largué. Angela tentait bien de traduire mais elle se lassa vite de répéter sans cesse les réponses. Bref Balou tapa le crachoir au patron du lieu qui était bien le seul à comprendre un peu l’anglais. Au bout de deux verres de vin, Balou se sentit mieux et revigoré, mais l’heure tournait, il fallait retourner à la propriété. Sur le chemin du retour, Balou fit part à Angela du bon moment qu’il avait passé à découvrir le port de pêche et ses habitants, excellente matinée aussi pour Angela qui avait revu ses amis et connaissances. — Tu sais j’ai parlé à Maria la fille de notre aide ménagère, et on s’est dit que nous pourrions prévoir une petite soirée avec les personnes avec qui j’ai ...
    ... conservé des liens très forts, qu’en penses-tu mon chéri ?— Cela est une excellente idée, ainsi je pourrai connaître un peu mieux tes amis, répondit Balou. Mais dans son esprit, il se dit que moins il verrait Bettina, mieux il se porterait. Ce mois de mai était un des plus chaud, la température oscillait constamment vers les 30° à l’ombre. Heureusement que la brise du large donnait un semblant de fraîcheur. Cette douce vie convenait parfaitement aux deux amoureux. Le déjeuner fut très calme pour Balou, Bettina n’engagea aucune approche à son égard. L’après-midi Angela et son amant se retrouvèrent à la plage privée de la propriété. Ils se prélassaient tous les deux au soleil, tels des lézards. Balou admirait son amie qui ne portait qu’un léger string de bain. Ses fesses rondes callipyges, ses cuisses interminables, sa peau bronzée, ses seins lourds mais fermes, son ventre plat, ses hanches de déesse, sa brune et soyeuse chevelure, elle ressemblait vraiment à Monica Belluci, sans aucun doute. Angela remarqua le manège visuel de Balou. — J’ai l’impression que tes yeux me marquent au fer rouge, mon chéri, lança-t-elle. Elle était allongée sur son drap de bain, Balou se rapprocha d’elle, leur lèvres se touchèrent pour se donner un fougueux baiser. La plage était déserte, une douce brise caressait leur corps surchauffé par le soleil. Balou quitta cette vorace bouche. Ses lèvres descendirent progressivement entre le sillon de la poitrine d’Angela, puis sa langue titilla les bouts durcis ...