1. Very Nice trip


    Datte: 08/04/2018, Catégories: grp, couplus, inconnu, vacances, hotel, Partouze / Groupe

    ... voir ainsi que son étalon s’est frayé un chemin vers son petit trou. C’est encore tout nouveau pour elle, pas sûr qu’elle apprécie. Je m’inquiète un peu, suis près de repousser mon infatigable et fougueux coursier mais son visage se détend soudain, ses yeux se révulsent, elle exhale un long cri déchirant. Pas de doute elle jouit et je ne tarde pas à la rejoindre au paradis. Ahhhh ! Bon sang, qu’est-ce que c’est bon ! — Ça va ? Martin me regarde bizarrement. Je crois que je viens de revivre ma jouissance de la veille à voix haute. Je rougis tout en posant instinctivement une main sur le haut de sa cuisse pour reprendre pied. Il bande dur. C’est moi qui lui fais cet effet-là ? Je n’en reviens pas… — Excuse-moi, j’ai eu comme un flash ! On était sous les douches, Sido et moi… Quel moment délicieux !— Sauf que nous on s’est senti un peu délaissé… Je rougis un peu plus encore, sincèrement désolée de nos excès. — Du coup, on est allé visiter. On a fait un tour aux bains, puis au sauna où il y avait un véritable attroupement. C’est là qu’on a vu cette fille (il me désigne la serveuse, qui désormais prend bien garde de ne pas accrocher notre regard). Elle s’occupait de tous les mecs qui rentraient dans le cercle. C’était vraiment étonnant, on était tous là à se palucher en attendant qu’elle veuille bien s’occuper de nous. Il y avait du sperme partout par terre et sur cette fille. Elle était comme habitée.— Vous l’avez baisée ?— Même pas. Apparemment son truc c’était juste de sucer ...
    ... des queues. Quand on a eu notre compte on a laissé la place et on a repris notre petit tour, la queue entre les jambes si j’ose dire. On vous a vues en pleine action dans une salle de massage. On a maté un peu mais on a décidé qu’il n’y avait pas de raison pour qu’on n’en profite pas pour lever une nénette puisque vous vous occupiez si bien sans nous… J’ai honte, mais je ne me remets même pas cette salle de massage dont il me parle, juste d’avoir été prise, et encore et encore, avec Sidonie à mes côtés. Ou pas. Je la vois qui jouit encore une fois, et encore. Elle se transforme en fontaine. À un moment, nous suçons la même queue, on s’embrasse à pleine bouche. Nous ! Nous quia priori n’avons aucune attirance pour les femmes. C’est complètement dingue ! Et puis soudain, elle disparaît de mes souvenirs. Me voilà à nouveau dans le brouillard. Pendant ce temps-là, Martin poursuit son récit. — J’étais obsédé par la fille du bar, Frédérique. Sans doute son côté Lara Croft (il m’adresse un clin d’œil malicieux). Marc m’a dit « banco », alors on s’est rhabillé et on est remonté dans la première salle. Elle allait quitter son service et elle nous a proposé de l’attendre. On a juste précisé à sa copine qui prenait la relève de vous prévenir qu’on s’éclipsait une heure ou deux. Et on s’est retrouvé sur le yacht. On reste un moment sans parler. À Martin, il manque encore un chaînon : que s’est-il passé entre son retour du yacht pour récupérer ses affaires et notre réveil dans une chambre ...
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