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mes oncles, mon père... (2)
Datte: 09/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou
... tiens avec tendresse. Moi, je mouille terriblement ! Alors je murmure à son oreille. Elle sourit, elle se détend. Elle m’embrasse passionnément par dessus son épaule. Elle regarde ensuite mon père dans les yeux et elle sourit. Papa la pénètre alors lentement. Sa chatte est un fourreau merveilleux dans lequel il entre en râlant. Il nous regarde. Il voit deux magnifiques putes dont sa fille, les cuisses écartées devant lui. j’espère qu’il va tenir plus de dix secondes !Il lui tient alors les pieds, il la soulève un peu et il la ramone doucement. Elle commence à aimer. Beaucoup. Il lui embrasse les orteils, elle kiffe en rigolant, Elle vient régulièrement par dessus ses épaules manger ma langue. Alors papa a une bien belle idée. Il glisse sa queue plus bas et il me prend le minou tandis que je caresse frénétiquement celui de ma chérie. Je pense cela comme ça : Ma chérie. Je ressens quelque chose de puissant pour elle. Je suis définitivement tombée sous son charme, c’est évident. Papa retourne dans sa chatte. Il revient en moi...il alterne entre nous sans arrêt, il mélange nos jus de moules. Je sais que la situation m’échappe. Je renifle les cheveux de Léa, je mords dans sa peau. Je jouis simplement en la touchant. Je vois que papa ne tient plus. Il est dans ma chatte mais je lui implore par un regard de remplir ma compagne, ma petite femme… il le fait alors. Il la prend, il coulisse trois- quatre fois et il gicle en elle. Il tape au fond en y déversant sa semence épaisse. Il ...
... fait d’elle un trou rempli de son jus qui se déverse rapidement sur les draps quand il se retire d’elle. Je m’extirpe de dessous ma petite salope et je me précipite pour lui lécher la chatte et avaler tout le nectar gluant de mon père. Je la fais crier comme une véritable nympho… la salope jouit comme jamais. Je choppe la bite de mon père que je suce pour la nettoyer et Léa me rejoint aussitôt. Nos deux langues se mêlent sur le gland de papa qui se croit au paradis avec deux anges merveilleux à ses pieds. Il gicle encore. Léa prend le jet en bouche, elle avale puis elle m’embrasse. Une vraie grosse salope… Dix minutes après, je bouge enfin. On s’est écroulés tous les trois dans la pénombre. Je regarde l’heure. Onze heures du soir. Je ne veux plus qu’une chose. Voir le minou de maman. Je réveille mon père qui s’est endormi avec sa main dans la chatte de Léa, comme un début de fist. — Papa… on va voir maman, lève-toi ! Il grogne. Il râle puis il se lève grâce à mes mouvements autour de lui pour le redresser. Une fois éveillé, il est dubitatif. Mais avec ce que je lui ai offert ce soir, il ne peut pas refuser. On s’habille très léger. Je ne mets pas de sous-vêtements sous ma petite robe d’été. Des sandales et voilà… Léa dort à moitié. Je l’embrasse et je lui dis que je reviens. — Okay mais je veux que ton père me baise encore… On se regarde en riant avec papa. On s’en va. En route, papa me demande ce que j’ai dit à l’oreille de Léa. J’hésite puis j’avoue : — Je lui ai dit que si ...