1. Dame Erika (3)


    Datte: 10/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    Chapitre 3 : Le voyage PAT Nous sommes toujours dans cette salle de torture, tous attachés, moi sur cette table d’écartèlement, avec à moitié la trique à cause des deux filles attachées sur leur croix de Saint-André, la robe au ras la moule. Tom est toujours ficelé sur son siège. Erika, tranquille, son fouet à la main, regarde le spectacle. Ce n’est pas possible, elle connaît l’animation ! — Un claquement sec. — Un bruit de tonnerre assourdissant résonne dans la pièce. — Le plafond en forme de dôme s’élève très haut. — Il s’éclaire. — À travers, des nuages tourbillonnent. — Des éclairs illuminent la pièce. — Un nouvel éclair déchire le plafond. — Un coup de tonnerre résonne dans mon ventre. — Je n’ai plus la trique. — L’orage s’élève dans le ciel de plus en plus haut. — Un tunnel vertical se dessine. — Le ciel se dégage. — Les nuages se mettent à tourner. — Ils sont brutalement remplacés par une tornade. — La base du vortex entre dans la salle, balayant tout sur son passage. — Dans les tableaux fluorescents, les visages, pris de soudaines convulsions, comme frappés d’un mal inconnu, se déforment. — Les tableaux volent, emportés dans le tourbillon. — Les dernières torches sont soufflées. — Il fait presque noir ; seuls les éclairs illuminent la pièce. — Les objets et engins de torture montent, soulevés par une force surhumaine. — La tornade qui tourbillonne défait nos liens. — Les filles sont emportées, leur robe arrachée. — Waouh ! Elles n’ont pas de culotte ni de soutif : ...
    ... elles sont nues ! — Une force invisible m’élève dans l’air ; le vent est terriblement fort. — Tom et moi sommes pris dans ce tourbillon fou. — Comme pour les filles, nos vêtements disparaissent. À l’identique des filles, pas de caleçon. — C’est les miches à l’air – et nous la bite au vent – que nous tourbillonnons dans cette spirale infernale. Erika fait aussi partie du voyage, à cette différence près : elle est toujours habillée. Tout est confus dans ma tête : « Pourquoi ? C’est une attraction ou pas ? Ne serait-elle pas à l’origine de tout cela, une espèce de sorcière ? Non ce n’est pas possible : c’est un mythe, les sorcières n’existent pas. Et ce phénomène… Les fantômes existeraient-ils vraiment ? » Je ne sais plus, je ne comprends pas. J’ai beau être le mec le plus costaud de la Terre, je suis un peu inquiet. Maintenant, nous sommes comme dans un tube de verre, en suspension, ballotés par cette tempête. Oh con ! Le mistral, à côté, c’est rien du tout ! Brutalement, il fait jour. Nos corps sont déformés par la vitesse ; c’est comme dans une vidéo que j’ai vue sur Internet : des parachutistes effectuent un saut complètement nus. Les filles sont filmées les seins torturés et déformés par le vent, et les mecs la bite en drapeau. Cette situation était à mourir de rire ; j’ai regardé ça avec des potes, on s’était éclatés… et là, nous sommes en train de reproduire exactement la même chose, sauf que c’est beaucoup moins amusant, et qu’en plus on n’a pas de parachute. Emportés dans ...
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