Galerie d'Art - Histoires de Sexe

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... allongea la jambe et sa cuisse fut nue jusqu’à la limite du ventre. Le jeu avec le photographe amusait Monique. Elle prit le bas des deux côtés de sa robe, et balança comme dans un french cancan. Petit à petit, elle remontait les bras et bientôt sa robe dégageait complètement son sexe et son ventre, sous les encouragements du photographe. Elle laissa retomber les pans de la robe et, écartant l’encolure d’un seul coup, sortit ses deux seins et les présenta au photographe. Il appréciait et le lui dit. Monique se tourna vers le peintre, se pencha à son oreille. Il la regarda un peu surpris et lui dit, avec un sourire : — Pourquoi pas… Monique défit fébrilement les deux boutons qui fermaient sa robe, la jeta sur une chaise et se mit fièrement nue à côté du peintre. Le flash partit de nombreuses fois. Elle prit toutefois soin de ne pas trop «voler la vedette» au peintre, c’était quand même lui le héros de la fête, et elle prit des attitudes sages. Quelques mois passèrent. L’article et deux photos avaient été publiées dans la revue spécialisée. Elle sut par le peintre que les ventes avaient été bonnes et elle s’en réjouit, s’estimant à juste titre un peu responsable de cette réussite. ---oooOooo--- Un jour qu’elle était à son travail, elle reçut un appel téléphonique de la secrétaire de direction. Le grand patron désirait la voir. Elle en fut très étonnée. Elle l’avait croisé quelquefois mais elle connaissait à peine son nom et elle était persuadée qu’il ne la connaissait pas non ...

... plus. Alors pourquoi désirait-il la voir aujourd’hui ? Pas très rassurée, elle monta au dernier étage. La secrétaire lui sourit et alla frapper à la porte du bureau directorial. — Monique est là, Monsieur.— Qu’elle entre. Pas d’appels ni de visiteurs. Je vous préviendrai. La secrétaire s’effaça, laissant passer Monique, et elle referma la porte derrière elle. Monique était assez intimidée. Elle regardait cet homme qui lui souriait et elle ne comprenait toujours pas pourquoi il l’avait appelée et pourquoi il lui souriait. Il lui désigna un des deux fauteuils réservés aux visiteurs. — Asseyez-vous, je vous en prie. Il s’assit dans un des fauteuils et Monique s’assit face à lui. En levant les yeux, elle vit sur le mur plusieurs tableaux du peintre, dont un de la dernière série… Elle rougit fortement d’un seul coup. — Bon, dit le patron. Je vois que vous commencez à comprendre pourquoi je vous ai fait appeler. Et en même temps, il prit sur son bureau la revue avec l’article illustré de la photo de Monique nue avec le peintre. Monique était très gênée. Elle ne s’attendait pas du tout à ça et ne savait quelle attitude prendre. — Comme vous le voyez, dit-il en montrant les tableaux au mur derrière lui, je suis un admirateur de ce peintre et j’ai acheté ce dernier tableau. J’avais l’impression de connaître le modèle, impression confirmée quand j’ai vu cette photo dans la revue. Toutefois j’avais beau chercher, je n’arrivais pas à mettre un nom sur ce visage et cette silhouette. J’ai ...