Gwenaëlle
Datte: 15/07/2017,
Catégories:
fh,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
Oral
69,
fdanus,
fsodo,
... entamé le mouvement, mes mains posées sur ses fesses. C’était vraiment génial, de l’entendre soupirer, d’entendre ses soupirs devenir gémissements… Je m’amusais des clapotis qui montaient de sa fente à chaque aller-retour. La tête tourneboulée par cette débauche, j’ai recommencé sur son anus mon petit manège, mais cette fois-ci avec mon pouce et en appuyant un peu plus fort. Là, elle a commencé à bouger le bassin d’avant en arrière, accompagnant mes mouvements. C’était génial ! Elle semblait sensible aux attentions que je prodiguais à sa petite rondelle, je me suis donc fait plus pressant, et, d’un coup, le bout de mon pouce est rentré, lui arrachant un petit hoquet de surprise. Nous nous sommes immobilisés un instant, mais elle n’a rien dit. Elle a juste recommencé son mouvement. Pas de meilleure invitation ! J’ai légèrement fait tourner mon pouce dans l’orifice pendant que je recommençais à la besogner, avec plus de vigueur cette fois-ci. Elle soufflait fort, certains de ses soupirs se muaient en couinements étouffés par l’oreiller. — Prends-moi par derrière, s’il te plaît !— Hein ?— T’as bien compris. Allez… Elle semblait fondre ; sa main était venue stimuler son clitoris, et le bout de ses doigts effleurait légèrement ma verge. — Allez, je sais que t’en as envie ! J’ai adoré la faire mariner… d’autant que je sentais qu’elle continuait à se caresser. Je me suis retiré de ...
... son antre et j’ai déposé de la salive sur son anus, pas mal de salive, que j’ai ensuite fait entrer avec mon pouce pour lubrifier l’intérieur et continuer à le dilater un peu. Enfin, ne pouvant pas tenir plus longtemps, j’ai appliqué mon gland sur son petit trou et j’ai commencé à pousser pour me glisser en elle. Le gland est entré assez lentement, je ne voulais pas qu’elle ait mal. Ça a duré plusieurs minutes, dans un silence anxieux mais lourd d’excitation. Puis, finalement, j’ai fini par m’enfoncer plus naturellement, non sans avoir encore rajouté de la salive. — Je te sens bien, là… "J’espère !", ai-je songé à cet instant. J’allais et venais entre ses deux collines blanches. Les sensations sont délicieuses, à la fois identiques et différentes de celles ressenties dans le vagin. Mais quelle excitation de passer par là ! Je l’entendais gémir, comme une petite fille ou presque. Mais une petite fille à la poitrine généreuse et qui m’avait demandé de la sodomiser. Je me suis laissé aller, en écoutant le bruit de nos chairs qui s’entrechoquaient, les gémissements de Gwenaëlle, qui se sont presque mués en cris. Je suis resté longtemps ainsi, avant de jouir… Nous n’avons pas refait l’amour ce jour-là. Elle s’est endormie dans mes bras, et j’ai passé mon temps à contempler et caresser son corps, tenté de me masturber contre elle à son insu. Juste parce qu’elle semblait offerte…