Retour au sexe (1)
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... alors son pantalon et son sexe surgit comme un diable sort de sa boîte. Il me dit alors : — À genoux. Suce-moi bien la bite ; fais voir ce que tu sais faire. Je me suis agenouillée sans protester. J’ai ouvert la bouche ; il s’est engouffré entre mes lèvres et a mis sa main derrière ma tête. — Vas-y, suce bien, caresse mes couilles, lèche mon gland comme une glace et ferme les yeux. Il me guidait et était très précis dans ses demandes : — Ouvre plus, prends ma bite bien au fond ; suce bien, serre tes lèvres. — Tu aimes ça, qu’on te baise la bouche ? — Oh oui, tu aimes : t’es une bonne salope qui aime sucer. — Quand j’aurai bien giclé dans ta bouche, je vais te prendre la chatte et tu vas jouir comme la chienne que tu es ! — Mets tes doigts dans ta chatte et caresse-toi. Écarte plus les jambes ; les autres ne voient pas. — Regarde-moi : je veux que tu voies ma queue qui te baise la bouche. Les autres ? Quels autres ? J’ai alors ouvert les yeux et j’ai vu deux hommes et une femme qui me regardaient sucer avec délice la bite de l’homme. Je voulus m’arrêter, mais la main derrière ma tête se fit plus lourde. — Continue. Suce, je vais bientôt gicler ; on verra le reste après. Et je continuai ! J’avais la sensation d’être utilisée, mais je l’acceptais et j’aimais ça ! La femme se mit à genoux à côté de moi sur l’ordre de l’un des deux hommes. Ils s’approchèrent d’elle et elle ouvrit la bouche immédiatement. Elle prit un des sexes dans sa bouche, puis l’autre. Elle semblait bien ...
... connaître les attentes de ces hommes et passait de l’un à l’autre en les serrant dans ses mains et en faisant des va-et-vient sur ces membres raides et gonflés. L’un des hommes se détacha d’elle et se pencha sur moi. Ses doigts se joignirent aux miens et il me doigta avec habileté. Il continua son manège jusqu’à l’entrée de mon anus qu’il massa un moment, puis il se suça un doigt, l’imprégnant de salive, et l’introduisit dans cet orifice. Il fit quelques allers et retours et dit : — Un cul vierge et bien serré, j’adore ! Je vais bien m’en occuper. Ne t’inquiète pas, ma pute, je vais te prendre ce trou et tu vas bien crier ! À ces mots, la bite dans ma bouche tressauta et des giclées de sperme épais et chaud tapissèrent le fond de ma gorge. Pas habituée, j’eus du mal à avaler mais je le fis quand même. Celui qui me doigtait le cul prit aussitôt la place. Sa bite était longue et épaisse, et je me réjouis qu’il délaisse mon cul pour ma bouche : elle me semblait plus disposée à l’accueillir. Puis les hommes nous demandèrent de nous allonger sur le dos, côte à côte, et d’écarter les cuisses au maximum. Et chacun à son tour ils nous pénétrèrent. Ils passaient de l’une à l’autre sans distinction et nous étions, la femme et moi, remplies en permanence par ces gros dards qui nous transperçaient en rythme. Nous n’étions plus que des trous destinés à leur plaisir, et j’ai joui de cette soumission, de cet avilissement, de n’être rien qu’une chatte à fourrer et à se prêter. Ce fut un sentiment ...