Une aventure érotique : La flaque
Datte: 11/04/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... approchée de son mari. Une fois l’explication terminée, le couple rigole de la situation et de mon visage cramoisi. - Tu es rouge comme un coquelicot ma pauvre Marie ! Mais ressaisis toi ! Nous avons maintenant un problème sur les bras… - Hein quel problème ? - Tu ne vois pas dans quel état est Sylvain ? Nous ne pouvons pas le laisser comme cela, la bite tendue ! - Oui Marie, Valérie a raison, approche toi de nous… Je m’approche tremblante de tout mes membres, j’ai depuis quelques temps fantasmé sur le mari de ma copine et voilà qu’elle me l’offre sur un plateau en me disant : - Calme toi, chérie, la situation m’excite, j’ai toujours rêvé de voir mon mari prendre une autre femme devant moi. En plus de ça je dois dire que je suis attirée par toi et ton joli corps que je devine divin. Elle me saisi les mains et les posent, l’une sur la pine de son mari et une sur sa poitrine gonflée par le désir. Comme un automate, l’esprit un peu embrumé par mon désir fou, je branle et tâte mes deux partenaires pendant qu’ils me déshabillent. Une fois que nous sommes nus, commence alors une vraie mêlée. Nos corps s’enlacent et s’entrelacent, nos mains parcourent nos courbes. Nos lèvres embrassent, nos bouches sucent, nos langues lèchent. Le pénis de Sylvain est énorme et d’une dureté extrême, nous nous appliquons à le sucer et à le lécher à tour de rôle mon amie et moi. Au début ...
... hésitante à toucher un autre corps de femme, je découvre avec étonnement que j’y ai pris plaisir. Le couple me fait coucher sur le dos et écarter les jambes puis c’est Valérie qui s’empare du sexe de son homme pour que celui-ci vienne me pénétrer. Bien qu’épais, le mandrin entre sans problème tellement ma chatte est mouillée par mon excitation. Mon vagin affamé l’enserre et le fait rentrer au plus profond de mon être. Célibataire, j’ai eu de nombreuses aventures, mais je peu dire que jamais je n’ai été baisée comme cela… Le couple pris possession de mon corps, pendant que l’un me pénétrait en rythme et en puissance, l’autre me suçait les seins avec tendresse. Pendant que Sylvain me pilonnais et me faisait monter petit à petit vers le septième ciel, Valérie caressais mon corps, le massait, le léchait. L’orgasme arriva de façon brutale, une décharge que je n’avais alors jamais ressentie déchira mes entrailles, mes membres pris de soubresauts partaient dans tout les sens et un cri puissant s’échappa de ma gorge. Etendu par terre, sans aucune force, j’étais aux anges… Sylvain c’est retiré de moi, lui n’avait pas encore déchargé mais cela n’allait pas tarder. Valérie s’approcha bien vite et goba goulûment la verge pour se repaître du foutre qu’elle vida dans sa bouche. Nous sommes arrivés en retard au travail, pourtant nous étions toute les deux déjà éreintée de notre journée !