1. Linda, la fille a Marie


    Datte: 11/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou

    ... choses vraiment sérieuses : le dépucelage de Linda. Elle-même semblait attendre cela avec impatience. Elle s’était allongée sur le lit, dans le sens de la longueur, les jambes légèrement ouvertes et à demi reliée, exposant à mon regard sa magnifique chatte palpitante.- Qu’attends-tu pour faire de moi une femme ? J’ai hâte de sentir ton sexe exploser ma chatte ! Viens vite ! Regarde comme elle tremble d’impatience ! Comme elle est ouverte ! Comme elle appelle au secours !- J’arrive, mon amour !Je me positionnai entre ses jambes que je lui fis écarter encore plus, tout en les lui remontant, genoux pliés, sur son ventre. Elle était si belle dans cette position impudique de fille heureuse d’offrir sa fleur au pilon qui allait la défoncer et l’ensanglanter. Elle eut tout même la présence d’esprit – que j’avais totalement perdue – de me demander de prendre un préservatif dans la boite qui se trouvait, elle le savait, dans le tiroir de la table de nuit. Je tendis la main pour sortir la boite de préservatifs du tiroir et la lui tendit pour qu’elle s’occupe elle-même de la corvée d’en sortir un, de déchirer son emballage et de me l’enfiler. Elle fit tout cela avec des gestes rapides et précis, semblant prendre du plaisir à l’enfiler sur mon engin qui n’arrêtait plus de palpiter, tant il était excité.Je me repositionnais entre ses jambes qu’elle remit toute seule dans la position que je voulais qu’elle prenne et me mis à lui caresser les petites lèvres avec mon sexe, pour la faire ...
    ... mouiller le plus possible. Je me rendis vite compte que mouillée, elle l’était à l’excès. Mais je ne voulais pas la pénétrer tout de suite. Je voulais le faire progressivement de manière à la déchirer sans trop de brutalité. (J’avais pourtant envie d’y aller franchement et de lui éclater l’hymen comme une brute. Je crois qu’au fond de moi, j’avais gardé cet atavisme, ethnique ou social, qui faisait que l’homme n’a de plaisir sexuel que dans la brutalité).Je me retins et me mis à la caresser avec douceur avec mon pénis. Je le faisais aller et venir le long de la fente formée par les grandes lèvres, le faisant légèrement pénétrer à l’intérieur entre les petites lèvres pour aller titiller son clitoris. Elle appréciait et le montrait en gémissant et en bougeant doucement ses hanches. Elle avait encore fermé les yeux pour mieux profiter du plaisir qu’elle prenait. De temps en temps, je faisais pénétrer l’engin à l’intérieur du vagin et allais cogner sur la fine membrane de son hymen. Je la sentais se crisper, craignant la forte douleur de la déchirure. Je le retirai rapidement, et la sentais se détendre, soulagée de voir s’éloigner l’instant fatidique.Je reprenais mes caresses sur la surface de sa chatte, sur son clitoris et à l’entrée du vagin. Je recommençais plusieurs fois le manège d’aller titiller son hymen, sans le perforer, si bien qu’au bout de la sixième ou septième fois, quand mon sexe entrait en contact avec sa membrane, elle ne se crispait plus. Elle se laissait aller ...
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