Vacances avec ma Filleule (1)
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... majeur se fraie un chemin vers l’entrée de son vagin et y pénètre ; juste une phalange, et je ressors. Je recommence plusieurs fois de suite jusqu’à y faire entrer entièrement le doigt. L’opération est facilitée par l’huile et la rend complètement indolore pour elle. Je la pénètre maintenant avec mon index et mon majeur. Elle gémit de plaisir. Je bande comme un âne, ma bite me fait mal. Je décide de la prendre dans mes bras et de la porter jusqu’à sa chambre pour aller plus loin dans son apprentissage. Quand elle se sent soulevée, elle s’agrippe à mon cou et cale sa tête sur mon épaule. Je la dépose au milieu du lit, lui retire ses lunettes et la vois avec plein d’étoiles dans les yeux, prête à devenir une femme. • Tu te sens prête ? • J’ai peur, mais je sais que tu feras tout pour ne pas me faire mal. • Tu sais que ce ne sera pas forcément l’extase pour toi la première fois. • Oui, je sais, mais je veux te donner ma virginité. Sur ces mots, je retire mes vêtements et je fonds sur elle. Je suis entre ses jambes, une main de chaque côté de son buste, je l’embrasse tendrement dans le cou, elle frissonne ; je descends vers ses seins et les embrasse également. Elle pose ses mains sur mon dos. Je prends appui sur une main et mes genoux ; de l’autre main, je dirige mon gland vers sa fente toute mouillée et huilée. Mon gland glisse dans ce sillon d’amour, et je m’attarde sur son clitoris pour le faire dresser. Comme elle ondule du bassin, je profite de son extase pour faire pénétrer ...
... mon gland dans son vagin. Surprise, elle grimace. Je reste ainsi quelques secondes avant de me retirer complètement. Je pénètre de nouveau son vagin ; mon gland rentre plus facilement, je m’enfonce en elle un peu plus. Ses mains se crispent sur mon dos. Je patiente un peu, et quand je vois son visage et sens ses mains se détendre, j’entre dans cet antre incestueux avec douceur. Après de longues minutes, je suis enfin entré entièrement en elle. Je l’embrasse dans le cou, et entre deux mordillements de ses lobes d’oreilles, je lui en fais part. Pour toute réponse, je n’ai que des souffles profonds et ses ongles qui entrent des mon dos. Je commence mes va-et-vient, d’abord doucement, très doucement pour ne pas lui faire trop mal. Son visage se détend après de longues minutes de ce traitement. Je décide d’augmenter la cadence. J’ai maintenant un rythme plus soutenu ; elle lâche mon dos pour attraper le traversin sous sa tête et le mordre à pleines dents. Je sors complètement d’elle puis rentre jusqu’à la garde. Les premiers allers-retours sont serrés et douloureux pour elle, mais elle me supplie de continuer. Je ne peux plus me retenir, j’explose en elle. La sensation de mon foutre chaud dans son vagin la fait se tendre comme un arc. Après m’être bien vidé en elle, je me retire délicatement et je me couche à ses côtés. Elle reste à plat-dos, les jambes écartées. Sa chatte béante se vide de mon jus légèrement rosé dû à son dépucelage. Une larme coule sur son visage ; je l’essuie. ...