Vacances avec ma Filleule (1)
Datte: 12/04/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... pour à peu près 45 kg. Des petits seins 85B (j’ai regardé dans un de ses soutiens-gorge peu après cet événement) et un cul à damner un saint, sûrement grâce à ses nombreuses années de gymnastique. Après l’avoir matée un peu par-dessus son épaule, je lui demande de s’allonger sur le ventre pour pouvoir lui mettre le monoï plus facilement. Je me fais un plaisir à lui enduire le dos et les cuisses. Au moment de partir, elle lève la tête et me rappelle : • Tu as oublié un endroit. • Ah bon ! Lequel ? Elle me montre son cul. Je souris. • Cet endroit, je pense que tu peux le faire toute seule. Elle ne rétorque rien et finit de s’enduire seule le reste du corps. Cette vision me fait partir dans un semi-fantasme. J’en sors rapidement à l’arrivée de ma femme qui, également en bikini, va s’allonger sur le bain de soleil à côte de celui d’Alex. Je n’entends pas leur conversation, mais je les regarde attentivement. Delphine s’est aussi mise topless, et maintenant Alex l’aide à mettre sa crème solaire. Je trouve que ma filleule a la main baladeuse sur sa tante : elle passe et s’arrête plusieurs fois sur cette poitrine opulente, et quand elle s’occupe de l’arrière-train de sa tante, elle n’hésite pas à passer sous sa culotte et dans l’entrecuisse. Je prends quelques photos de cet instant magique et pars faire le tour de la propriété pour essayer de faire redescendre de mon excitation. Quand je rentre de ma petite balade, je suis zen. Delphine s’affaire dans la cuisine pour le dîner. ...
... J’arrive derrière elle, l’enlace au niveau de son ventre tout rond et l’embrasse dans le cou. Ces petites attentions la font frissonner. • Elle est où, Alex ? • Dans la salle de bain ou dans sa chambre. Tu peux aller la chercher pour qu’elle mette la table ? • J’y vais. Je me dirige vers la salle de bain et la trouve vide. Je vais donc vers sa chambre et frappe à la porte. Une fois, puis deux, et enfin trois fois. N’ayant pas de réponse, je pense qu’elle s’est endormie et du coup j’ouvre la porte pour aller la réveiller. J’ai cru que mon cœur allait s’arrêter. En effet, je tombe nez à nez sur Alexandra de dos, un pied sur son lit et écartant de façon obscène les cuisses. Dans le miroir en face d’elle, je la vois en train de s’écarter les grandes lèvres d’une main et de tenir son téléphone de l’autre. Elle a ses écouteurs dans les oreilles ; c’est pour ça qu’elle ne m’a pas entendu. Après ces quelques secondes interminables mais sur l’après-coup divines, nos regards se croisent dans le reflet du miroir. Je lis la peur, mais surtout la gêne dans le regard de ma filleule. Elle se jette sur son lit et se recroqueville en position fœtale. Sans un mot, je sors de sa chambre et ferme la porte. • Tu as trouvé Alex ? • Oui, elle s’habille. Je vais mettre la table, elle la mettra demain. • Tu la chouchoutes trop. • Peut-être, mais j’ai qu’une filleule ; alors j’en profite. Tout en mettant la table, je repense à cette scène surréaliste. J’attrape une gaule d’enfer qui, vu l’allusion de ma ...