1. Les tourments de Julie et Carine (5)


    Datte: 12/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... contrôleur parti, le petit couple recommence. Je regarde le paysage par la fenêtre pour ne pas les déranger. J’entends des soupirs. Je les entends chuchoter. Elle ne veut pas faire l’amour dans le train. Tant pis pour eux, ils ne savent pas ce qu’ils perdent. Je reçois un SMS. C’est David qui l’envoie. La personne qui vient me chercher est Seb, un jeune qui vient d’avoir son permis et il a une méhari. Une méhari, je n’ai aucune idée à quoi ressemble une voiture qui est une méhari. Pas bien grave. Un autre SMS. Tu n’oublieras pas de lui laisser le pourboire habituel. Décidément, Monsieur s’est se faire présent même quand il n’est pas là. J’arrive à Millau. Nous ne sommes que deux à descendre, cela va me simplifier la vie. Je sors de la gare, regarde. Je vois un jeune homme dans une voiture bizarre. Elle n’a pas de toit, elle n’est pas toute jeune. Je m’approche : — êtes-vous Seb ? — Oui, et vous, vous êtes Carine. Montez, je vais mettre votre bagage dans la voiture. Il se précipite pour prendre ma valise et la charger dans la voiture. Je m’installe et nous voilà parti. Il me dit que nous en avons pour trois quarts d’heure de trajet environ. Je le vois mater mes cuisses, c’est ...
    ... vrai que ma robe est courte. Au milieu d’une route qui doit être vicinale vue sa largeur, il s’arrête devant une grille. — Voilà, vous êtes arrivée. lbslccga Je le regarde et dis: — Je dois vous faire quelque chose pour vous remercier de m’avoir amenée. J’ouvre sa braguette, et sors une superbe verge bien raide et d’une belle longueur. Je me penche et commence à le sucer. Hélas, il est tellement inexpérimenté et excité qu’il éjacule tout de suite. J’avale sa semence et lui dit merci. Je descends, prends ma valise et commence à remonter l’allée. La voiture ne redémarre pas tout de suite. Il me regarde marcher. Enfin, j’entends la voiture partir. J’arrive à la maison en fait le tour. J’aperçois Julie au milieu de la pelouse. Je vais sur la terrasse, lit le petit mot, ouvre le carton qui est à mon nom, prends le collier, la laisse et les menottes. Une fois prête, je vais à coté de Julie. Il est treize heures. Julie me dit que cela fait déjà bien une heure qu’elle est là et qu’elle n’a vu personne. Je souris, lui réponds qu’à mon avis, il n’est pas prêt d’arriver mais qu’il doit y avoir des caméras et que l’avantage c’est que l’on est toutes les deux et que nous allons pouvoir discuter. 
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