1. Le Manoir Aux Fleurs Partie 04


    Datte: 12/04/2018, Catégories: Sci-Fi & Fantaisie,

    ... littérature plancha sur ses premiers cours. Elle préféra ne pas tenter le diable en continuant ses recherches sur cette étrange confrérie. Et en fin d'après-midi, elle prit congé de la directrice et regagna son domicile, troublée, un peu inquiète sur ce qu'elle lui avait appris sur le comte. Pendant ce temps, Éléonore était passée par les toilettes pour essuyer les dernières traces de ses effusions jouissives et assise elle ne put s'empêcher de se rappeler sa première expérience avec Mariette. Heureusement que ses parents n'étaient pas rentrés plus tôt car les mesures de restrictions qu'elle avait subies aurait été pire, limite le couvent En effet les deux jeunes filles avaient été prise la main dans le sac façon de parler, le nez dans l'intimité de l'autre alors que leur séance se terminait. En effet elles avaient fait bien pire tout au long de la nuit qui avait suivi l'oppressante visite au château du comte. Les premiers baisers chastes avait fait place à une sauvagerie qu'elles ne se connaissaient pas. Mariette l'avait fessée la faisant hurler de plaisir, elle tortillait tellement du cul que son amie ne put pas empêcher ses doigts de glisser sur sa rondelle totalement moite de ses sucs d'amour. Ivre de plaisir, Éléonore réclamait d'être prise, elle suppliait son amie de calmer le feu qui couvait en elle. Ne pouvant pas décemment la déflorer ce qui l'aurait déshonorée elle et sa famille, elle prit la décision de lui pendre le petit trou tout d'abord timide, de peur de faire ...
    ... mal à son amie elle y alla plus fort à sa demande, sa croupe allant à la rencontre des doigts bienfaiteurs. Éléonore feulait de plaisir en demandant toujours plus. Mariette avisa une belle brosse à cheveux sur la coiffeuse et se dit que son manche en bois poli pourrait calmer la belle et d'un seul mouvement, elle l'enfonça dans Éléonore qui jouit sur le coup hurlant son plaisir. De peur de lui avoir fait mal car elle pleurait de plaisir, Mariette retira immédiatement le manche des chairs dilatées et la cajola, un câlin en entraînant un autre, les deux jeunes femmes finirent par se retrouver tête bêches l'une pour se faire pardonner de la douleur infligée, l'autre pour remercier des sensations vécues. Rapidement cette position et les caresses partagées leur échauffent à nouveau les sens. Cette fois-ci, c'est Mariette qui demande à sa complice de la prendre sans retenue, comme si leurs désirs jouaient aux vases communicants. Eléonore trouva la cravache de son aînée et commença lui cingler les fesses. Debout devant son amie, Mariette se trémoussait sous les coups mais plus Eléonore frappait, plus elle semblait en vouloir davantage. La croupe pâle de Mariette rougissait peu à peu et la griffure en forme d'infini sur la peau semblait luire d'une lueur bleutée comme la poussière qu'elles avaient respirée au passage des papillons. Ivre de puissance, Eléonore donnait des coups de plus en plus violent et changea l'orientation, elle frappa violement de bas en haut, et Mariette tomba à ...
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