1. COLLECTION COCU. Femme déçue, femme adultère (1/1)


    Datte: 16/07/2017, Catégories: Dans la zone rouge,

    Entre Cyprien et moi, tout a commencé le lendemain de nos noces, je me suis mariée en méritant ma robe blanche. J’avais accepté d’attendre cette nuit magique pour lui offrir ce que j’avais de plus précieux, ma virginité. J’ai passé de longues nuits à élaborer comment les choses se passeraient, je savais que mes beaux-parents nous avaient réservé la suite nuptiale dans ce grand hôtel de Normandie. Il m’enlèverait mes affaires une à une afin de découvrir mon corps, je lui demanderais d’embrasser mes seins l'un après l'autre commençant à échauffer ma chatte. Mon nombril serait titillé par cette langue friponne faite pour mon plaisir. Je dois être honnête, je suis vierge, mais je me caresse souvent avec mon index que je pose sur mon clitoris, ce qui le fait démarrer au quart de tour tellement il est sensible. Étant toujours prêt à jouir, le moment où dans mes rêves la bouche de mon amoureux parviendrait dessus serait gage de grand bonheur. Je suis certaine que lorsque la bite de Cyprien entrera en moi, éclatant mon hymen, je serais tellement chaude que je jouirais sans sentir la moindre douleur. Pour faire bonne mesure, avant de nous faire monter notre petit-déjeuner, il recommencera le même processus pour finir par jouir encore plus fort en moi, me faire féconder dès la première fois dans mes rêves les plus chauds, ce serait le bonheur suprême. Hélas, comme Perrette allant au marché portant sur sa tête un pot de lait, se voyant déjà à la tête d’une exploitation agricole de 1 000 ...
    ... vaches dans cette belle Normandie, j’ai vite déchanté. Tout le repas, mon mari est resté à la buvette qu’il m’avait imposée avec ses copains à biberonner de la bière. Pour ouvrir le bal, beau-papa s’y est coltiné, s’excusant du comportement de son fils. Quand il s’est agi de le ramener dans notre chambre, en sortant de l’ascenseur, c’est à quatre pattes qu’il est parti vers la chambre, à mis chemin, il a inondé la moquette d’une fusée sympa. C’est bien sûr, moi, qui ai ouvert notre porte, je l’ai tirée à l’intérieur, car il s’était endormi. Je l’ai mis dans la salle de bains la tête dans le bidet, le temps d’aller nettoyer le couloir du mieux que j’ai pu risquant d’en remettre une couche. J’ai ouvert mon lit laissant tomber les pétales de rose, je me suis déshabillé déchirant ma robe de mariée de rage. Dans la salle de bains, il a envoyé une fusée, coup de chance dans le bidet pendant que je prenais un bain. Bref une nuit de noces pourrie et un pucelage persistant, au matin, il est venu me rejoindre, je me suis dépêché de me lever, car il avait une haleine de chacal, j’ai mis un peignoir et je suis allé voir mon beau-père pour lui dire que je divorçais. Il avait lui aussi revêtu un peignoir et m’a pris dans ses bras pour me cajoler et une nouvelle fois s’excuser. C’est à ce moment que je me suis rendu compte que Serge était un homme comme les autres, du moins contrairement à son fils, il bandait. Comment me suis-je retrouvé sur son lit, je ne saurais le dire tellement, je me ...
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